Hotel Dusk
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Jonathan H. Fontaine
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Invité
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Dernière édition par Jonathan H. Fontaine le Dim 18 Sep - 21:07, édité 1 fois


Anonymous





Jonathan
♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥H. Fontaine

Inventé ♫♫♫♫♫♫♫♫
by NES
by NES
▪▪ Alors, l'ami, prêt à nous dire qui tu es? ♫♫

ϡ Age 16 ans
ϡ Métier Lycéen
ϡ NationalitéFranco-américaine, père français, mère américaine.
ϡ Lieu de naissance France
ϡ Date de naissance 13 décembre 199x


ϡ Memento mori, souviens toi que tu mourras.
(c) Citation latine

Arcane 0: Le Fou

Cogito ergo sum, cela ne vous dit rien ? Je pense donc je suis, non ? René Descartes ? Peu importe, vous chercherez vous-même. Bref, j’étais un adepte de ce mode de pensée, j’ai lu et je me souviens entièrement du Discours de la méthode. Etrange pour un lycéen ? Ah oui, je suis lycéen, premier de la classe en philo, math et français. Non, je ne suis pas un génie, je n’ai pas deux cent de Q.I., juste cent-soixante et des parents scientifiques. Moi, je me suis concentré sur la philosophie, sur le dualisme de l‘âme et du corps, donc plutôt tourné vers tout ce qui dit que c’est l’esprit qui fait notre intelligence, non le cerveau. Lorsqu’on commet une faute, c’est l’esprit qui en est coupable, il n’est pas forcé par un besoins du corps.

Excusez-moi pour ce discours particulièrement inintéressant, mais je montre ma manière de penser. Allez, j’abrège. Je ne suis pas renfermé, timide mais pas renfermé. Il est assez dur pour moi de m’intégrer dans un groupe à cause de cette timidité. On a du mal à me faire sourire, je montre peu mes émotions et on me reproche bien souvent d’être trop inexpressif. Du genre penseur, j’analyse une situation avant de faire quoi que ce soit, ou de dire quoi que ce soit. Je me sens pleinement confiant lorsque je parle de chose « intellectuelle », et l’inverse sur des sujets anodins comme le sport ou les filles. Alors, à ce niveau là, je perds mes moyens dès que quelqu’un du sexe opposé me parle, foutue crise d’adolescence ! Cela en devient même une phobie. Je n’ai pourtant pas la tête d’un boutonneux à lunettes…

Tenez, j’ai des yeux bleu foncé s’accordant avec ma chevelure noire à reflet bleu ainsi qu’une cicatrice sur le côté droit de mon front que je cache derrière mes cheveux. Je n’ai donc pas vraiment le portrait d’un intello. Bon, j’avoue que je mets des vêtements qui se démarquent un peu pourtant, une chemise blanche et une veste noire, cela reste dans les normes. C’est une marque de fabrique avec le fait que je marche toujours avec les mains dans les poches, même quand je cours. Aussi, je me ballade tout le temps avec mes écouteurs et mon lecteur mp3. Normal, non ?

Et bien non, car en fait, je suis sourd. Mais même si je n’entends rien, j’arrive toujours à imaginer les musiques, au passage, mon style c’est le métal symphonique et le Hard rock. Forcément, quand on est malentendant, ce n’est pas évident de parler avec quelqu’un, surtout si mon interlocuteur ne me regarde pas car je ne peux lire sur ces lèvres. Je maîtrise un peu le langage des signes, qui réellement ne sert qu’à parler aux autres sourds et muets car personne ne parle le langage des signes… Le mieux reste la technique du portable, où j’écris un message dessus et le montre. Malgré cela, j’ai conservé une voix à peu près normale, d’après les médecins. J’ai hélas peur de m’en servir. Je crois qu’après avoir perdu l’ouïe, je me suis renfermé, convaincu d’être abandonné. Je ne rendais pas compte que ce qui comptait, c’était aller de l’avant. Ma sœur jumelle me le disait souvent. Remarquez, c’est à cause d’elle que je suis sourd…

Sinon j’aime les armes à feu, comme mon paternel, on adore tenir une arme dans les mains ; ma mère disait que c’était « Un truc de mec ». Pour compenser, elle m’a appris à jouer du violon et du piano. Elle a bien fait, la musique est vraiment une de mes passions. Tout comme l’écriture. Un vrai « intellectuel ».
A contrario, les trucs que je déteste le plus sont les enfants en bas âge et les chiens, parce qu’ils faisaient trop de bruit. Sourd a parfois des avantages. Le réglisse aussi. Quelle horreur ! Sans oublier que je suis ochlophobe, je déteste me retrouver serré dans la foule, surtout dans un espace clos et que je refuse de monter dans les ascenseurs.
by NES
▪▪ Ouvrons une page de ton histoire ♫♫


Arcane I: Le bateleur.

Jonathan Howard Fontaine, c’est super classe comme nom… J’ai le nom de mon père et celui de ma mère, ce qui rend au final, très lourd. Mes parents étaient chercheurs, ils se sont rencontrés en France. Ma mère venait des USA pour ses études et mon père l’a rencontré à ce moment. Nous sommes nés, moi et ma jumelle, Ashley, en France, où nous avons vécut pendant cinq ans puis on a muté mes parents à New York, puis Boston pour finir au Nevada. Hop, changement de pays. J’ai fait mes études secondaires à Reno, toujours avec mon double féminin. Nous étions inséparables, un en deux, deux parties d’une même personne. Jamais l’un sans l’autre. On savait à l’avance ce que l’autre allait dire, à force, on ne parlait même plus. Une connexion mentale s’était établie entre nous. Ashley était ouverte et moi timide, plus introverti. Elle riait facilement, je souriais difficilement. Elle préférait le rouge et moi le bleu. On s’en fichait, ce qui nous tenait à cœur c’était les moments passés ensemble.

Arcane XI: La Force

Un jour, je me suis fait agresser après l’école. Deux couillons qui se prenait pour les rois du quartier et qui emmerdait les intellos. Pour les flingues, aucun problème mais pour le corps à corps, vous m’oubliez. Je me serais fait littéralement démonter si Ashley ne s’était pas ramenée avec notre bande de pote. Les deux braves se sont tirés et moi je m’en suis sorti avec la lèvre supérieure qui saignait. Lorsque je lui ai demandé comment elle avait su où j’étais et que j’avais des problèmes, elle a répondu « Je l’ai senti ». Elle m’a fait ensuite promettre de ne jamais me balader seul.

Tout aurait du continuer ainsi pour toujours. Sauf que l’on est tous destiné à mourir, peu importe le moment.

Arcane XX: Le Jugement

Je jour de nos quatorze ans, Ash s’est effondré littéralement. Lorsqu’elle s’est réveillée, elle nous regardait sans nous reconnaître. Et cela a continué. Elle devenait irritable, nous prenait pour des étrangers et elle n’arrivait plus à dormir. Nous l’avons emmené à l’hôpital. Les médecins ont parlé en privé à mes parents. Puis on m’a fait passer au scanner IRM. Moi, apparemment ça allait. J’ai demandé à un certain Carlson ce qu’il se passait. Il m’a demandé de le suivre dans son bureau. Je crois que je savais à quoi m’attendre. Il n’a dit qu’un seul mot : syndrome confusionnel. A partir de ça, j’ai tout deviné :
-Pardon ? Vous me dites que ma sœur va…
-Oui, si on ne fait rien, et on ne peut rien faire, elle va finir dans le coma.

Les comas d’origines métaboliques sont souvent précédés de confusion mentale appelé syndrome confusionnel. Apparemment, le tout viendrait d’un problème génétique, d’après les médecins.

-C’est pour cela que l’on t’a fait passer un scanner. Tu as de la chance d’être un faux jumeau, sinon tu aurais surement le même problème.

Là, je la fermais. Qu’est-ce qu’on peut faire dans un moment pareil ? Rire ? Pleurer ? Rester stoïque ? J’ai opté pour la dernière option en demandant :

-Peut-on faire quelque chose ?
-Non, là c’est trop grave et trop tard pour réellement faire quelque chose. Ah si, on peut l’achever mais ce n’est pas dans les options légales.

Ce type avait le don pour remonter le moral des gens…
Je n’ai même pas remercié le médecin. Je suis parti voir mes parents qui étaient en train de me chercher. Il ne s’est rien passé, aucune engueulade, aucun reproche, rien. On n’était pas dans un film. Quand ils ont vu mon regard, ils ont compris. Sans un mot, nous nous sommes rendus dans la chambre d’Ashley.
Je ne dis rien, les mots ne servant à rien.
Là, ma mère s’effondra en larme.

Arcane VIII: La Justice


-C’est ta faute ! Ta faute à toi ! Pourquoi c’est elle qui doit mourir et pas toi ?

C’était moi qui étais visé.

-Ashley était une fille gentille, tout le monde l’appréciait. Toi, tu es l’opposé, vide, creux. Personne ne t’aime !

J’étais d’accord avec elle. Je suis le mauvais fils. Elle avait raison quand elle disait que personne ne m’aimait. Je n’avais pas d’ami. Les seules autres personnes de mon âge que je fréquentais étaient en réalité les amis de ma sœur. J’étais un isolé.
Mon père ne disait rien mais la colère qui se lisait sur son visage avait tendance à prouver qu’il était d’accord avec ma mère.
Le silence reprit, je n’avais rien à ajouter
Je me suis approché d’Ash. Elle n’avait rien entendu car elle s’était endormie. J’ai attendu à ses côtés pendant toute la journée. Mes parents sont partis dans la soirée, trop désespéré.

-Jon…

Ash se réveilla et vit que je veillais à son chevet.

-Bonsoir, la saluais-je.
-Où sont…
-Partis il y a deux heures, ils reviendront.
-Alors qu’est-ce que j’ai ?

Surement la chose la plus dure que j’ai jamais eut à faire de toute ma vie. Même après, rien n’a été aussi difficile que de lui expliquer ce qu’il lui arrivait. Des larmes coulaient de ses joues. Moi, je n’arrivais pas à en avoir. Elle vit que je ne me sentais pas bien, alors elle essuya ses larmes et sourit tout en essayant de me remonter le moral :

-C’est pas grave. Si toi tu continues toujours à vivre, vu que nous ne sommes qu’une seul et même âme. Tu te souviens, on avait fait des recherches pour découvrir pourquoi on avait un lien mental et on avait fini par tomber sur Descartes.

Arcane XIX: Le Soleil


Je me souvenais, c’était il y a deux ans.

-On avait supposé qu’on était une âme qui avait été séparée et que cela expliquait pourquoi on avait des tempéraments différents. On se complétait l’un l’autre. Et comme nous ne formions qu’un spirituellement, nous pouvions comprendre les sentiments de l’autre. Absurde. Sauf que maintenant j’y crois réellement.

Et elle ria. Je n’avais pas envie de rire et je n’essayais même pas, pourtant voir ma sœur sourire m’emplissait de bonheur. Elle profitait de la vie. Juste après j’ai ressenti de la tristesse. Je ne la verrais plus jamais avec de la joie sur le visage.
Pourquoi ? C’est surement la seule question que l’on peut se poser. On meurt tous un jour mais pourquoi certain avant d’autres ? Je ne savais pas ce qu’elle pouvait ressentir mais j’en avais un échantillon.
Une semaine plus tard, on sortait de l’hôpital. Le traitement que Ash suivait devait lui permettre de vivre peut être deux ans. Elle tint à peine quelques mois.

Arcane XVIII: La Lune


Pour nous, la vie avait repris son cours normal, on faisait comme si tout allait bien et que tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes. Le déni de la mort, c’est dénier la vie. On n’a jamais mis ses amis au courant, je le regrette désormais. Et contrairement à nous, nos parents ont changé, changé de comportement envers moi. C’était ma faute, moi le fils discret, froid, peu ouvert ; pourquoi n’était-ce pas moi qui devrais mourir ? Pour eux, Ashley était l’enfant parfait. Je ne leur en voulais pas ; par contre, j’en voulais à moi-même. Ils avaient raison, c’était elle qui aurait dut avoir la chance de vivre. Au final, ma mère m’évitait, mon père ne me parlait plus directement. Seule Ashley faisait attention à moi.

Le 30 juillet, aux alentours de minuit, ce fut le début de la fin du monde. Sur le coup, je n’avais pas calculé. Maintenant, quand je vois défiler la succession d’événement, je me demande ce que j’aurais du faire, si j’aurais pu faire autre chose.

En un beau jour d’été, ma sœur fut prise de fatigue, je l’ai donc emmené une nouvelle fois à l’hosto. Comment supportait-elle cet endroit ? Elle y allait une fois toutes les deux semaines, c’était déjà suffisant. Carlson, encore une fois, m’a pris à part :

-Tu peux venir, c’est important.

Ma sœur avait été installée dans une chambre pendant que nous parlions. Le doc m’expliqua :

-Elle n’en a plus pour longtemps. C’est assez étrange que cela se fasse de manière progressive mais à un moment, elle fermera les yeux, et se sera pour de bon.

J’avais affronté cette réalité depuis longtemps, sans y être toutefois préparé. Seulement, ce n’était que le commencement. Mes parents étaient en retard. Quelque chose clochait. Le glas sonna une première fois quand Carlson vint me voir dans la chambre d’Ashley. J’étais assis à une chaise et je la regardais quand j’entendis la porte s’ouvrir et le médecin m’appeler :

-Jonathan, deux policiers veulent te voir, c’est au sujet de tes parents.

En effet, deux policiers, en uniforme réglementaire m’attendait dans le couloir. L’un d’eux me demanda :

-Vous êtes bien Jonathan Howard Fontaine ?

Je hochai la tête en me disant que la grimace sur son visage n’annonçait rien de bon. Le deuxième reprit :

-J’ai le regret de vous informer que vos parents sont décédés dans un accident de voiture.

Cela sonnait âpre, fade. Savait-il qu'il parlait à un adolescent? Lui, il m'annonçait comme si de rien n’était que mes parents étaient morts.
Allez, salut papa, salut maman. Je vous aime, bien que vous m’ayez fait souffrir depuis quelques mois. Voila ce que je ne pourrais jamais leur dire. Je n’ai pas eu le temps de leur dire au revoir. Ils étaient morts comme ça, exactement comme elle allait mourir.
J’ai encaissé mais le reste fut pire encore :

-On aurait besoin que vous identifiez les corps mais je suppose que…
Là, Carlson me sauva.
-Laissez, intervint-il, ce gosse doit rester auprès de sa sœur, je vais le faire, je suis le cousin de sa mère.

Il parti en mettant une main sur mon épaule avec les deux fonctionnaires. Je lui soufflai « Merci… ». Il ne m’avait jamais dis qu’il était un membre de la famille. C’était peut être pour cela qu’il s’occupait bien de nous.
A peine étaient-ils partis que je suis allé m’assoir près de Ash. J’étais encore sous le coup de la mort de mes parents. Qui pourrait supporter tout cela ? Je lui ai pris la main et lui ai fait une promesse :
-Je serais toujours avec toi. Je ne te laisserais jamais tomber.
Nous avons parlé tout le reste de la soirée. Je suis resté à l’hosto pour la nuit, endormi sur une chaise.

Arcane X: La Fortune

C’est là que tout se passa. Je fus réveillé par un bip assourdissant, le glas sonnait une deuxième fois. Je mis plusieurs secondes à calculer qu’il s’agissait du cardiogramme. Il y avait du sang partout sur le lit. Je ne vis rien de plus, car on me mit dehors - je n’aurais put dire qui était « on »- avant que je n’eus compris. J’entendis seulement quelqu’un hurler : « Elle s’est ouvert la gorge, elle perd trop de sang!»
Je l’appris dix minutes plus tard : elle s’était suicidée. En avait-elle eut marre ? Était-ce une crise de folie ? Préférait-elle mourir que dormir à jamais ? Ce pléonasme me fit réfléchir. Y a-t-il vraiment une âme ? Si c’est le cas, on devrait mourir si nous perdons notre âme. Or ce n’est pas le cas. Ash allait perdre la sienne sans pour autant mourir. Au final l’âme existe-elle vraiment ? Je ne saurais pas pourquoi elle s’était suicidée mais au moins je sais pourquoi moi j’allais le faire. Elle était partie et je ne sentais rien. Je ne sentais pas sa disparition alors que j’avais ressenti lorsqu’elle avait besoin d’aide. Était-ce l’instinct et non une histoire d’âme qui avait fait que l’on se comprenne si bien mutuellement ? Et elle était morte en croyant à cela.

Arcane VII: Le charriot.

Je suis parti de l’hôpital, c’était plutôt facile au milieu de la panique qui régnait. Je suis arrivé chez moi en pensant à des choses mineures, sans importance. Peut être que c’est ce que l’on ressentait quand on attendait dans le couloir de la mort ; une envie d’oublier les choses graves. La maison était dans le même état que lorsque j’étais parti, on n’avait pas l’impression que la fin du monde venait de se produire. Tout était à sa place, pas la peine de le vérifier. Dans le salon, le placard dans le coin, troisième tiroir. Mon père se servait de son double fond pour stocker ses armes à feu. Le flingue dont je me servais tout le temps était là. Apparemment, on avait oublié d’enlever les munitions. Je le pris, tira la culasse pour l’armer et retira la sécurité. Je pointai le canon vers ma tête tout en le gardant éloigné. Je pris ma respiration. Comment décrire ce que j’allais faire ? Ce n’était pas une envie de mourir, mais ce n’était pas non plus une envie de vivre. On n’a pas besoins de vraie raison pour faire le pas. L’humain est le seul être vivant à pouvoir outrepasser son instinct de survie, à pouvoir se sacrifier, à pouvoir se suicider volontairement.

Arcane XII: Le Pendu

J’allais le faire. Je suais, concentré sur mon index droit, placé sur la détente. Le temps s’arrêta. Je pressai la détente au moment où je réalisais qu’il manquait quelque chose. J’eus juste assez de réflexe pour bouger mon poignet légèrement. Puis la dernière chose dont je me souvins, c’était une détonation et un flash lumineux ainsi qu’une extrême douleur.

Je me suis réveillé dans un hôpital. J’avais très mal à la tête et heureusement j’avais fini dans l’hôpital le plus silencieux du monde. On se serait cru dans une église. Enfin c’est ce que je pensais avant de me rendre compte qu’il n’avait vraiment AUCUN bruit. Rien. C’est vraiment une sensation étrange car même si on se trouve dans une pièce où il n’y a pas de bruit, il y a toujours le bruit du sang qui coule près de nos oreilles. Là, je ne l’entendais pas. J’étais tellement fatigué que je ne pouvais pas bouger. Je pris mon temps pour regarder la chambre, une pièce toute banale, comme on peut en voir à la télévision. Il faisait nuit, il était surement très tard. Une infirmière rentra soudainement dans pièce et vit que je la regardais. Elle appela quelqu’un, enfin je suppose puisque je n’entendais rien. Un jeune médecin avec les cheveux complètement débraillé arriva.

Arcane IV: L'empereur.


Je me souviendrai toujours de lui, avec se cheveux châtain clair jamais coiffés, ses cernes prouvant qu’il passait toute sa vie à l’hôpital. Il s’approcha de moi et me fit signe de la main de me reposer. Il demanda quelque chose à l’infirmière et elle lui ramena un tableau blanc et un feutre noir. Il écrivit « Est-ce que tu vas bien ? Cligne une fois des yeux pour oui et deux fois pour non » Je cligne deux fois. Il sourit et effaça puis recommença : « Tu as eu de la chance que je sois de service car je suis un des seuls capable de sauver les personnes atteint au cerveau.» J’appris par la suite qu’il était presque tout le temps à l’hôpital afin de sauver le plus de vie possible. « Je te laisse te reposer, on continueras après. » Je me rendormis pour me réveiller à l’aube. Le soleil m’aveuglait sur ma gauche mais il m’aidait à me sentir mieux. La fatigue avait presque disparu. Même scène que tout à l’heure, l’infirmière entre, me voit, appelle, médecin arrive et se met à écrire. « Bonjour. N’essaie pas de parler. Tu es à l’hôpital. Tu ne risque plus rien. Je suis le docteur Carlson. » L’hôpital ? Ah oui, je crois me souvenir d’un bruit de détonation, un coup de feu. J’avais pris une balle ? Le côté droit de mon crâne me fit mal soudainement. Je rapprochai ma main et constatai qu’il y avait un bandage. « Est-ce que tu te souviens de ce qu’ils s’est passé » ? Je cligne deux fois des yeux. « Te rappelles-tu ton nom ? » Je cligne deux fois. La mémoire m’est revenue deux jours plus tard, m’est à peu près revenue: Carlson, mes parents, ma sœur… Le médecin m’expliqua que je m’étais tiré une balle dans la tête mais comme je n’avais pas visé la tempe, par chance, la balle avait éclaté sur l’os de la mâchoire pour une raison inconnue et que les éclats n’avait pas atteint le cerveau pour la plupart. « Une chance sur un milliard. » écrivit-il. Sauf qu’il y avait eu un problème. Un éclat avait atteint mon cortex auditif. « Une chance sur dix milliard ». Oui, je suis devenu sourd. Sinon aucune autre lésion physique. Mais mentalement... La Mort riait. Ce soir là, trois personnes, non, quatre personnes étaient mortes pour rien. J’étais mort, l’ancien Jonathan H. Fontaine. Un nouveau moi venait de naître.

Je suis resté un an en convalescence. Pendant ce temps, j’ai appris à vivre comme un sourd, à communiquer comme un sourd, à « écouter » comme un sourd. Chaque jour, Carlson venait me voir. J’étais son « miracle », le moment de sa carrière. C’était vraiment un bon médecin. Je ne reçus pas de visites ni d’amis ni de la famille, à part Carlson. Normal, je n‘en avais plus.

Les services sociaux sont venus pour enquêter sur mon cas. Il s’avère que Carlson avait fait une démarche pour m’adopter. Il avait un emploi stable et comme il était le seul proche qui me restait, il n’y eut aucun problème. Surtout que j’allais bientôt avoir seize ans.
Je n’avais pas oublié ma sœur. Il ne se passait une minute sans que je pense à elle. Chaque nuit j’espère que je vais me réveiller le lendemain et que tout sera redevenu comme avant mais chaque matin, mes espoirs sont brisés. Au bout d’un moment, je me suis résigné : il fallait avancer.

Je communiquais de plus en plus avec Carlson, de son prénom, Gideon. C’était un bon médecin si on oubliait son côté cynique et son humour noir que seul moi comprenait ; passionné par son métier, il aimait aider les gens bien qu’il ne le montrait pas. Ce type aurait sauvé beaucoup de vie encore s’il ne s’était pas fait renversé par un chauffard ivre le soir même. J’ai vu que la femme de ménage a soudain arrêté pour se concentrer sur autre chose. Je me suis levé et ai marché jusqu’au couloir. J’ai vu le docteur sur un brancard, ensanglanté. Il est mort sur la table d’opération. C’est cette nuit que je suis parti. J’ai pris mes affaires et suis sorti de l’hôpital sans qu’en s’on aperçoive. Je n’avais pas envie de reparler avec l’assistante sociale et finir dans un orphelinat. Je me suis glissé dans un groupe et on n’a pas fait attention à moi. J’ai fait un tour par chez moi. La maison avait été verrouillée mais j’avais toujours la clé, je ne sais même pas pourquoi d’ailleurs. Dans ma chambre, j’ai récupéré mon porte monnaie. J’avais accumulé cent quinze dollars grâce aux travaux de voisinage, cela me serait utile. J’ai aussi eu le courage de rentrer dans SA chambre. Au moment où je posais les pieds dedans, je revis Ash, allongée dans son lit d’hôpital, du sang partout. Je ne pouvais enlever cette image de ma tête. Affrontant ma peur, je trouvais l’argent qu’elle avait gardé. Quatre cent trente dollars. Là, j’en avais suffisamment. Je me sentais sale de faire cela mais elle n’en avait plus besoins maintenant…

Arcane IX: L'Ermite


J'ai pris quelques vêtements poussiéreux et je suis parti à pied en direction de la côte Est. Je me suis souvent arrêté dans différentes villes ou villages où j’ai logé plusieurs jours. J’avais perdu la notion du temps et malgré tout, j’aimais cela. Ces grands espaces, ces paysages, ces moments de réflexions. Jamais je n’avais ressenti autant de bonheur depuis ce jour. Le Nevada est vaste. D’ailleurs cela m’a rappelé ce film où le héros ne s’arrête jamais de courir. A part que je marchais.

Arcane V: Le Pape


Le sujet qui m’occupait le plus était moi-même. L’image que je voyais en rêve, c’était moi égorgeant ma sœur. Si c’était le cas, on m’aurait déjà arrêté. Pourtant, quelque chose en moi doutait toujours de ce qu’il s’était passé cette nuit. Tout autour de moi me semblait mort et vivant à la fois, un peu comme moi. J’hésitais à me tuer de nouveau mais cela n’aurait servi à rien. Carlson avait tant donné pour me faire vivre et je ne voulais pas le trahir.

Je gravais dans ma mémoire le visage de tous ceux qui avait péri, tous ceux qui avaient perdu la chance de ressentir du bonheur, de rire, de s’amuser, de vivre. Peut être que j’aurais du encore une fois appuyer sur la détente, pour ne pas gâcher la vie des autres mais cela ne changerait rien car je survivrais. J’étais maudit. Alors autant avancer

Arcane XXI: Le Monde


Un soir, je suis arrivé devant un hôtel étrange. La musique de mon mp3, la préférée de ma sœur, était jouée sans que je puisse l’entendre mais je la devinais :
« Dreamless dorm, ticking clock… »
Je me demandais quel était cet endroit. Pour un hôtel, il me semblait… Effrayant. Quelque chose de profond m'incita à y aller, quelque chose à laquelle je ne pouvais résister.
« I walk away, from my soundless room…»
L’Hotel Dusk. Un lieu particulier. Il devait surement me rester suffisamment d’argent pour me payer une chambre
« Nightly Dance of bleeding swords …»
Je m’approchais quand une phrase me revint en tête. « Ô, toi qui arrive en ces lieux, abandonne tout espoir car... » C’est quoi la suite déjà ? Bref, me suis approché, à la fois effrayé et... et... et effrayé. Alors pourquoi j'avance?
« …I will Burn my dread!”
J’ai enlevé mes écouteurs et la musique s’est achevée dans ma tête.

Fuir le passé n’est pas difficile, mais se cacher de lui est carrément impossible. J’essayais d’oublier la mort. Et cette phrase me vint aussitôt en tête et je l’entamai donc à haute voix :

-La vie et le temps nous mène inévitablement à la tombe, mais il ne faut pas attendre la mort, elle viendra au moment voulue. Il faut garder l’espoir d’avoir des jours meilleurs mais aussi de profiter du moment présent, comme si chaque jour était le dernier. Faisons nos adieux à nos proches et partons vivre, car c’est ainsi que commence toute histoire.

Bien sûr je n’entendais pas ce que je disais mais cela me remontait le moral. Je vivrai sourd mais je vivrai.

Revenons à l'hôtel Dusk
Il y a quelque chose à l’intérieur de ce bâtiment de malsain. Le Mal.
Ou alors j’hallucine, ce qui ne serait pas étonnant vu mon état de trouble mental. Ressentir des émotions devant un hôtel…
La nuit commence à tomber.

Allez, je pousse la porte.
by NES
▪▪ Et toi derrière l'écran, viens ici! ♫♫

ϡ Pseudo : ATLAS
ϡ Age : 16 ans
ϡ Niveau rp : 9 ou 10 mois grand maximum. Pas une très grande expérience donc.
ϡ Disponibilité rp : Avec les études, une fois par semaine.
ϡ Comment es-tu arrivé? Le hasard de la vie et un coup de téléphone de la part d’un ami.
ϡ Un avis? Ce forum a vraiment l’air sympathique. Non, vraiment.
ϡ Code :Code vérifié par Ryry


Ryann Stalker

▌Date d'arrivée : 15/12/2009
▌Age du joueur : 36
▌Commérages : 2057


Ryann Stalker



Bienvenue Jonathan (même si cela a déjà été dit depuis belle lurette ^^").

Un sourd dans cet hôtel? Ça promet de sacrés histoires Wink (et j'espère ne pas être la victime du prochain 30 juillet D: )

Je laisse au bon soin de nos admins juger ta fiche.
N'oublie pas que si tu as des questions, tu peux les poser au staff, on te répondra le plus vite possible et avec grand plaisir.

J'espère que tu t'amuseras sur ce forum en tout cas! ^^

Note: je vais valider ton code.
Invité
Invité


Anonymous



Uh ! Bienvenue.
Courage à toi pour ne pas devenir fou. Avec de tels admin's, ça risque d'être dur.
James Leighton

▌Date d'arrivée : 03/08/2011
▌Commérages : 471


Dernière édition par James Leighton le Lun 29 Aoû - 20:00, édité 1 fois


James Leighton



Hi !

Bienvenue, Jonathan :3
Un sourd ! Moi qui voulait faire un prédéf' nyctalope et aveugle le jour, mais je ne sais pas si je vais le faire, maintenant >.> Mais en tout cas, bonne idée, et j'espère que tu ne souffre pas trop, pauvre petite victime de mes frères et soeurs (enfin, là, c'est plutôt de moi, désolé .___.')

Well, amuse-toi bien :3
*câlin de bienvenue qui ne se refuse pas :3*
Invité
Invité


Anonymous



Bienvenue Jonathan.
Un coup de téléphone d'un ami? On se demande bien qu'elle ami ça peut être...
Un colt 1991? Hum... Laisse moi deviner, c'est un colt 1991 A1? Jonathan s'en servait tout les dimanche? Hum... Plutôt un dimanche sur deux non?

Bon aller j'arrête de déconner. Bravo pour ton scénario, c'est du ATLAS tout craché. Au départ j'étais septique sur l'idée du sourd et, bien que l'expliquation soit quelque peu fantaisiste, l'histoire de ton héro et très cohérente et surtout très captivante.

Vivement que Jayden croise le chemin de Natha... Heu je veux dire Jonathan.

EDIT : Je parie que tu seras dans le club des torturés, petit malchanceux !
Arthur Clifford

▌Date d'arrivée : 21/06/2011
▌Age du joueur : 36
▌Commérages : 1104


Arthur Clifford



Bienvenue sur le forum Jonathan red: Nath' s'occupera de ta fiche demain Wink
Invité
Invité


Anonymous



Bienvenue à toi, Johnathan! :o
Nathaniel O'Bryan

▌Date d'arrivée : 02/12/2009
▌Age du joueur : 37
▌Commérages : 1422

https://pandora-box.forumactif.com

Nathaniel O'Bryan



Coucou Jonathan,

Je vais donc être en charge de ta fiche. Tout d’abord, rien à voir avec ton texte en lui-même mais soit, je tenais à le signaler : très belle orthographe et grammaire. C’est très plaisant à lire tout ça red: Voilà, bref, petit aparté fini, passons aux choses sérieuses, mwhahahahahahaha.

Tout d’abord, en ce qui concerne ton histoire… Je t’avoue que la mort de tes parents ET de ta soeur, je trouve ça un peu… de trop ? Je sais très bien que des histoires tristes, ça arrive mais… Quand on lit le début de ton histoire, rien – je dis rien – ne nous prédestine à voir la suite des évènements. Je trouve que ça trop « bom, surprise, voilà, j’ai changé d’avis et j’ai tué les parents, yeaaah alors vas-y tues moi car je te menace, whouah !». Dooonc, si tu avais mentionné qu’ils avaient été assassinés par un cambrioleur et que ta sœur aurait tenté de se défendre (d’où le fait qu’elle finisse par te viser quand tu débarques), là, ça m’aurait semblé cohérent et j’aurai dit oui sans soucis. J’aurai aussi pu accepter que tu vises sur elle « par erreur » à cause de la pénombre avant de te rendre compte de ton erreur et de tenter d’y remédier. Ce que je veux dire, c’est que vous avez l’air tout tranquille, tout calme, et que ce revirement de situations fait trop soudain. Soit tu entres dans les détails (expliquant que Jo’ voit sa sœur changer, qu’il voit qu’elle attrape un comportement étrange, etc. qui pourrait l’amener à finalement tuer les parents), soit tu changes carrément et amène ta sœur à ne pas être la meurtrière Wink Toujours est-il que – bien qu’elle t’ait menacé – je trouve l’idée de la tuer un peu… étrange. Je veux dire, tu présentes votre lien comme presque fusionnel et tu sembles la tuer comme ça, baf, comme si c’était la chose la plus naturelle au monde… Bon, je ne sais pas si mes explications sont très claires (ça semblait vachement clair dans ma tête… Rolling Eyes).

Et c’est là que j’en viens à parler de la tumeur de ta sœur. Je trouve que ça fait presque « vitesse éclair » comme explication. J’en reviens donc à te dire que si tu veux garder l’idée de ta sœur comme meurtrière, soit je veux bien l’accepter, mais il faut vraiment que tu développes le changement chez Ash’. Pourquoi a-t-elle eu ceci et qu’elle ne t’en a jamais parlé ? Pourquoi les parents ont-ils gardé cela secret ? Comment une tumeur aussi grave (car pour en arriver à de pareils résultats, la tumeur devait forcément être avancée) est-elle passée inaperçue ? Car tu vois, pour en arriver à de pareilles séquelles sur le cerveau de ta sœur, la tumeur était forcément en stade terminal et je doute que cela ne se soit jamais vu Wink Outre ceci, il y a autre chose qui me chiffonne dans ton histoire… La police a l’air vraiment de n’en avoir rien à battre de ce qui s’est passé… Tu les mentionnes en deux lignes et hop, tout va bien, je vais bien Jonathan H. Fontaine 20689 Pour moi, tu devrais développer cette partie impérativement. Tes parents sont morts, ta sœur aussi, tu te retrouves orphelin, mineur, et tu peux partir comme ça comme une fleur de l’hôpital… Ouais… Pas très crédible dans la vraie vie, pas vrai ? Ensuite, bien que tu t’entendes avec ton médecin, je le vois mal être celui qui t’amènerait tes affaires Wink Dans la vraie vie, les médecins ne sont clairement pas comme ça (je n’ai rien contre la profession mais j’ai côtoyé le milieu hospitalier suffisamment que pour savoir que cela n’arrive pas xD). Pour ce qui est des choses qu’il te ramène… On oublie le pistolet hein… Je veux dire, même si on est aux States, jamais un ado’ n’aurait le droit de porter une arme Wink (et vu que le médecin n’a aucun lien avec ta famille, ce n’est pas possible qu’il aille chez tes parents comme une fleur, prendre le flingue du pater et te le donner sans soucis).

Ensuite, pour ce qui est de l’argent retiré… Impossible. Bon, d’accord, on est aux States et je ne connais pas leur système mais je pars du principe belge et je peux te le dire clairement, impossible. Quand quelqu’un meurt, ses comptes sont d’office bloqués. Tu devrais passer par un notaire, faire valoir tes droits de succession, te faire sucrer au passage (erm…) et seulement pouvoir avoir accès aux comptes de tes parents. Or, tu t’enfuis comme un voleur. Dooonc, pas cohérent xD Enfin, pour le côté « malédiction du 30 juillet », ton perso’ peut y penser, cela va de soi. Chacun ses petites phobies, mais tu ne dois pas partir du principe que cela va s’avérer exact. Disons que cela me fait trop penser au jeu PS3 quand tu termines ainsi Wink Dooonc… Je pense que tourner les choses autrement, insinué que tu en es convaincu ferait plus « approprié », on va dire. Ah oui, juste, dernière remarque ! J’avais zappé ce détail… (enfin, plus ou moins) *boulet* Ton père a le droit d’avoir une arme à domicile, les américains sont réputés pour être assez laxistes à ce sujet… Erm… Il a sans doute aussi le « droit » de t’initier à cet art on va dire… Mais toi, tu ne peux pas en avoir un sur toi Wink Soit tu piques celui du pater, soit tu n’en as pas red: Parce que même si les américains sont assez larges pour distribuer des armes à feu, ils ne vont quand même pas jusqu’à en refiler aux ado’ xD Voilà, voilà, je pense avoir tout mentionné. Je n’ai pas parlé de ton caractère car il me semblait correct donc inutile de s’éterniser là-dessus, n’est-ce pas ? Bon, c’était un long pavé, pleins de remarques, je sais que c’est désagréable de devoir changer des choses ainsi. Je le conçois parfaitement. Mais nous essayons de rester un minimum en accord avec « la vie réelle » on va dire (tu ne verras pas à gamin avec des oreilles de chat quoi xD) donc, c’est pourquoi je t’ai fait ces quelques commentaires. Je reste à ta disposition pour toute question Wink

Courage, tu peux le faire *sbaaaf* :pompo:
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Anonymous



Merci pour les encouragements.
Je passe juste pour dire que je suis en train de finir ma fiche mais qu'à cause de la reprise de l'école, je n'ai quasiment plus de temps pour écrire (La 1°S, ça pardonne pas). J'espère la finir pour mercredi mais ce n'est pas sûr.
Arthur Clifford

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Arthur Clifford



Coucou Jonathan,
pas de soucis pour le délai Wink Tant que tu nous préviens, on ne te dira rien. Les études avant tout. Le rp reste un plaisir Wink Courage pour la reprise et pour la fin de ta fiche.
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Anonymous



Bon, voila c'est fait!
Certes, il me reste un ou deux trucs à faire mais là j'ai complétement changé ce qui avait été critiqué si bien que ce n'est plus la même histoire. Au début, je voulais faire du style romantique, dans le sens littéraire, où le personnage parle beaucoup de ses sentiments mais je me suis rendu compte que cela ne collait pas avec son profil.
J'ai plus grand chose à dire si ce n'est: ENFIN FINI!
Nathaniel O'Bryan

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Nathaniel O'Bryan



Waaah, là, je suis soufflé. Jonathan H. Fontaine 328364 Sérieux, les modifications que tu as faites... Ta fiche m'a tenu en haleine du début à la fin. Je te valide donc avec plaisir Jonathan. Désolé, j'avais fait un beau texte et quand j'ai décidé de le poster, la connexion a planté et j'ai tout perdu ô joie. Du coup, j'fais plus court Jonathan H. Fontaine 619309

Puisqu'il s'agit d'un inventé, je te demanderai d'aller référencer ton avatar {ici}. Tu logeras dans la chambre 1404. Elle sera créée prochainement donc ne t'en fais pas si tu ne la vois pas dans l'immédiat Wink Je t'invite à rédiger ton carnet de rps {} et ton carnet de relations {ici}. Ton compte en banque sera créé fin de semaine red: En attendant de trouver un partenaire de rp, tu peux toujours aller jeter un oeil du côté des intrigues - missions {ici et } Wink Bon jeu parmi nous Jojo'. Tu seras mon doudou. De un, parce que tu te crois fou et que tu te demandes si tu n'aurais pas tué ta soeur (la folie virant "psychopathe", ça peut coller ensemble) et surtout pour une "autre" raison, liée à la première, que tu découvriras bientôt lorsque l'intrigue de Noël sera terminée. Je te tiendrai au courant par mp Wink *réserve-moi un rp petiot, mwhahahahahahaha*
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Jonathan H. Fontaine