Hotel Dusk
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Arthur Clifford ♥ 'Cause British people rock ~
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Arthur Clifford

▌Date d'arrivée : 21/06/2011
▌Age du joueur : 36
▌Commérages : 1104


Dernière édition par Arthur Clifford le Mer 22 Juin - 13:11, édité 14 fois


Arthur Clifford





Arthur
♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥Clifford

Prédéfini -- Inventé ♫♫♫♫♫♫♫♫
by thelandofnaara
by thelandofnaara
▪▪ Alors, l'ami, prêt à nous dire qui tu es? ♫♫

ϡ 23 ans
ϡ Policier
ϡ Britannique
ϡ Haslemere (Surrey)
ϡ 12 mars 1987


ϡ L'homme de bien situe la justice au-dessus de tout. Un homme de bien qui a la bravoure mais qui ignore la justice sera un rebelle. L'homme médiocre qui a la bravoure mais qui ignore la justice sera un brigand.
(c) Confucius
Pourquoi cet interrogatoire ? Quel intérêt pouvez-vous bien avoir à connaître le fond de ma personnalité ? Je suis ce que je suis, point final. Je ne vois guère l’utilité de vous en raconter davantage. J’avais prévu ce parfait discours pour mon arrivée aux Etats-Unis. Bref, concis, cette nouvelle recrue qu’on m’assignait comprendrait parfaitement le message. C’est ce que je m’étais dit. Quelle grossière erreur. Only stupid guy don’t understand when they should stop being so annoying. Plus je restais muet comme une carpe et plus cet imbécile d’américain m’houspillait pour savoir qui j’étais, d’où je venais, pourquoi j’étais là… Je ne suis pas d’une nature à parler ouvertement avec emphase, à gesticuler comme ce gamin le fait. Dieu qu’il est fatiguant. Trop de bonne humeur et d’énergie tue le britannique calme et posé que je suis. J’ai beau lui répéter qu’il devrait se calmer, rien y fait. Il semble totalement sourd à mes suppliques. Du coup, cet américain me traite de coincé et me surnomme « Sir I’ve a stick in my ass ». You git ! I hate that guy. Pour lui, il faudrait que je sois sur piles électriques Duracell à longueur de temps et que je sautille telle une puce. Ai-je seulement la tête d’une puce ? Non, bien, alors qu’il me foute la paix for God Sake ! Lorsqu’il entame ce que je surnomme « ses crises de bonne humeur à répandre », je me renferme telle une huître dans sa coquille. Généralement, je fais abstraction de sa petite personne et je me plonge dans mon travail. Forcément, l’imbécile vient dans mon dos pour me déboîter l’épaule avec une bonne frappe virile comme si nous étions les meilleurs amis du monde. Why do I have to support that stupid boy ? I understand now why none of his colleague resist more than one week…

Il y a des moments où il m’insupporte plus que d’autres. Notamment à dix-sept heures lors du thé. C’est une tradition dans ma terre natale et je ne vois pas pourquoi je devrai faillir à mon devoir britannique en omettant cette tradition. Bien entendu, avec le décalage horaire, cela me fait prendre le thé beaucoup plus tôt mais qu’importe, je respecte la bienséance. Seulement monsieur Smith ne semble pas capable de comprendre ce concept. Figurez-vous qu’il est convaincu qu’il faille que je prenne le thé à dix-sept heures, heure new-yorkaise. Soit, je devrai être content qu’il connaisse tout de même les traditions britannique (Holy Graal, he’s not so uncultivated, I can’t believe it)… Mais le concept de décalage horaire, hélas, lui ne semble pas avoir été pris en compte. Du coup, ce jeune américain débarque toujours à dix-sept heures heure new-yorkaise avec une tasse de thé et son sourire niait alors qu’il me dévisage plus tôt dans la journée lorsque je prends mon thé. C’est à n’y rien comprendre… Ce petiot me rendra dingue. Com’on Artie, stop being so grumpy. Smile a little bite ‘kay ? Je ne peux m’empêcher de serrer les dents lorsqu’il me surnomme ainsi. Dieu qu’ai-je fait pour mériter pareil châtiment ? Etre consciencieux et passionné pour son travail ne paie apparemment pas puisqu’on m’a muté ici et refourgué ce gamin. Il est affalé sur ce comptoir, bourré comme toujours, et je soupire pour la énième fois. Smith n’est pas un mauvais gars (For God Sake, I’ll never tell him that. He would be impossible to support) mais il devient vraiment pénible lorsqu’il a bu. Il ne tient pas l’alcool ce petit et j’ai beau lui répéter qu’il devrait arrêter, il hausse les épaules en me disant que je suis trop coincé.


« Artie, dude, you came ! »
« Stop calling me Dude, I’m not your dude ».
« Man, why y’re so mean ? »
« John, sometimes I really want to kick your ass ».
« Why not ? »
« I’m not sur you really understand what I meant ».
« Artiiiiie… I’ gonna puke… »

Et voilà, comme toujours, je finis irrémédiablement par l’emmener aux toilettes pour y remettre ce qu’il ne sait pas encaisser. Comme toujours, il va me remercier and as usual I’ll smile because he can be cute sometimes. Je l’apprécie bien ce petit, même si je prône le contraire, mais c’est ainsi. Je ne suis pas du genre à m’ouvrir facilement aux autres. Je n’ai jamais été ainsi et j’avoue qu’avoir Smith à mes côtés met à mal mes convictions. Je pense sourire plus souvent ces derniers temps, même si je soupire de mécontentement également plus souvent. Il est la première personne à savoir supporter the Grumpy Brit that I am et on the other side, I’m the first one to support the little brat so excited that he is. On se complète en quelque sorte et finalement, même si ça m’arrache un rein de l’admettre, on est une bonne équipe. Bon, certes, s’il était plus consciencieux sur son boulot, ça ne me ferait pas de mal mais bon… Comme il me le répète à longueur de temps « Artie, you’re conscientious enough for both of us ! ». Malgré moi, je l’ai laissé entrer dans ma vie. Il lui arrive de m’inviter à boire après le boulot, me faisant découvrir son univers. Et moi, je l’emmène de force dans des musées les rares fois où nous sommes tous deux libres pour lui inculquer un minimum à ce gosse. Hormis ses jeux, il ne fait pas grand-chose de ses journées… Mais j’avoue que je l’emmène moins souvent. On reste de plus en plus devant la télévision (parce que monsieur s’est invité chez moi !) à regarder l’un de ses films d’action américain. J’ai beau exécré le genre, le voir heureux me rend également heureux, satisfait. Finalement, mon monde a été chamboulé mais ce n’était peut-être pas si mal… Mais ça, j’emporterai ce secret dans la tombe.
by NES
▪▪ Ouvrons une page de ton histoire ♫♫


2 octobre 2010

On m’avait annoncé que j’étais muté aux Etats-Unis il y a de cela trois jours et j’avais décidé de faire le tri dans mes affaires. Je ne pourrai pas tout prendre. Je soupirai pour la énième fois alors que je balançai un poster d’un groupe de musique dans l’une des caisses. J’avais fait deux tas, l’un serait donner à une œuvre caritative et l’autre serait renvoyer à ma famille. J’aurai bien l’un ou l’autre de mes neveux qui seraient intéressés par quelque chose… Le reste, j’avoue que c’était assez fourbe de ma part, mais il le jetterait eux-mêmes. Je n’avais pas le temps de m’occuper des détails. Non seulement j’étais muté mais en plus tout devait se faire dans la rapidité. A cette constatation, je ne pus m’empêcher de repenser à la veille au soir. Mes parents avaient eu l’air abattus lorsque je leur avais annoncé la nouvelle. J’ai beau avoir 23 ans, je reste leur petit « bébé » en quelque sorte, même si ça a le don de m’énerver. Hélas, lorsqu’on est le benjamin de la famille, il faut s’attendre à cela. Maman avait pleuré, papa m’avait demandé si j’avais commis une erreur (Thanks dad to put your trust in me…). Lorsque je leur avais expliqué la situation, ma mère avait tempêté, mon père était resté muet et mon frère aîné s’était payé ma tête, traitor ! I have to move to the States and there is no options left to me. I have to even if I don’t want. So, maybe could you take some of my belongings ? I guess there are some things in which you could be interest. C’est ainsi qu’il fut décidé qu’une partie de mes affaires irait à ma famille. Maman pleurait, ayant l’impression que son fils disparaissait de sa vie… J’étais resté muet face à cela, qu’aurais-je bien pu dire ?

Tandis que je continuais de ranger, je finis par tomber sur un album photo. Il était bientôt dix-sept heures, une petite pause s’imposait et je pourrai regarder l’album à loisir tout en sirotant mon Earl Grey. Je fis craquer mes articulations avant de laisser mon travail tel quel pour me diriger vers la cuisine. J’observai la décoration tandis que je préparais le thé. Cet endroit allait me manquer. Certes, ma maison n’était pas bien grande ni même des plus richement décorée but It feel cosy and that’s all that matter, isn’t it ? Je l’avais achetée il y a quatre ans lorsque j’étais entré dans la police. Mes parents m’avaient aidé bien entendu, le grand frère était déjà installé et la grande sœur était en passe de le devenir alors il ne restait plus que le petit dernier à aider. Je finis par m’installer à table et ouvrit l’album. L’odeur du thé se répandait dans la pièce alors que je regardais Edward en train de courir après notre chien. Mon grand frère avait toujours été un trouble fait, tout mon opposé. Il me traitait toujours the little grumpy boy with big eyebrows. You git. Un sourire vint fleurir sur mon visage alors que je continuais de tourner les pages. Ah oui, l’année de mes cinq ans. Juste, Eléonore avait décrété que son petit frère serait sa nouvelle poupée. Little nuisance, like if I look like a girl. Maman avait beaucoup tempêté pour lui faire entendre raison, Edward s’était payé ma tête comme à l’accoutumée et pour ma part, je m’étais retrouvé affublé de nœuds dans les cheveux et d’une robe rose bonbon. Quelle horreur !

Pourtant, tout ceci allait me manquer. Ma famille allait me manquer even if one part of it is really being irritating. Je sirotai mon thé tout en tournant les pages et je finis par tomber sur une photo de moi, bébé. Ah, une période dont je ne me souvenais guère comme tout un chacun. J’étais né un jour de pluie, un 12 mars 1987 dans un petit hôpital à Haslemere. Edward était déjà bien grand assez pour venir me rendre visite et vouloir me prendre dans ses bras par contre Eléonore n’avait que trois ans à l’époque et maman avait préféré qu’elle ne le fasse pas. J’avais eu une enfance calme et heureuse si on y regarde bien, j’étais chanceux. Les choses s’étaient un peu refroidies entre maman et moi lorsque je lui avais annoncé il y a six ans que je voulais être policier comme mon père. Elle n’avait pas apprécié de devoir s’inquiéter deux fois plus pour sa famille mais c’est ainsi. J’ai toujours prôné la justice et le métier de policier me semblait idéal pour cela. Bien que je sois de nature calme, je ne me voyais pas à la barre en train de défendre des cas. Je voulais arrêter les malfaiteurs, pas tenté de les sauver et de les innocenter. Certes, je savais qu’il n’y aurait pas que ce genre de cas mais j’avais pris peur face à ceux-là et j’avais opté pour la police. Finalement, j’étais plutôt satisfait de mon choix. Maman avait fini par accepter cette décision et elle en était même plutôt fière. L’horloge finit par sonner dix-huit heures et je refermais l’album. La séance nostalgie était finie, je ne voulais plus regarder les photos. Mon cœur ne pouvait s’empêcher de se pincer à chaque nouveauté que je découvrais. Je finis par sortir de la cuisine après avoir déposé la tasse dans l’évier et je repartis poursuivre ma tâche. L’album atterrit dans la valise que je prenais et je continuais. Le travail serait long mais… Comme je l’avais dit plus tôt… There is no other option, I have to do it even if I dislike it.


16 décembre 2010

Je grognais depuis ce matin. Cet imbécile de Smith n’arrêtait pas de rigoler d’ailleurs à ce sujet me surnommant le chien enragé. Eh bien, tu sais ce qu’il te dit le chien ? Va voir ailleurs si j’y suis, ça me fera des vacances! Crétin d’américain. Stupide français à cause de qui nous sommes coincés ici. Je les hais tous les deux. Je hais mon supérieur pour m’avoir rétrogradé et envoyé ici dans ce foutu pays de mangeurs de burgers ! Si j’arrive à finir ma carrière dans ce pays de dégénérés je serai vraiment chanceux. Je vivais une paisible existence dans ma terre natale – home sweet home – et il y a trois mois de cela, il avait fallu que le chef de mon service m’appelle à son bureau. Je me souviens encore de cette conversation comme si c’était hier. For God Sake, why he had to say something like that ? Tous mes rêves, mes projets d’avenir, tout avait été brisé en un instant lorsque j’avais mis les pieds dans ce maudit bureau. Je portais le commissaire dans mon cœur autrefois mais depuis ce jour, il avait basculé dans la liste des nuisibles à éviter à tout prix. I really hate to say it but… My life sucks ! Alors que mes pas raisonnaient dans le couloir de cet hôtel, je me remémorai la conversation que nous avions eue. Conversation des plus douloureuses pour un jour pluvieux. La pluie a toujours accompagné mes pires journées, à croire que c’est fait exprès.

« Ah Clifford, très beau travail, vraiment. Vous êtes l’un de nos meilleurs agents »
« Merci monsieur mais je doute que vous m’ayez fait venir pour cela, n’est-ce pas ? »
« En effet petit. Ecoute, tu fais du très beau travail mais… Comprends, la criminalité a diminué de 72% depuis que tu es entré dans notre service. »

Et quand il m’a dit ça, j’aurai du de suite deviné que la suite ne serait pas bonne à entendre. Le commissaire me souriait de façon paternelle et c’est alors que je remarquais que nous n’étions pas seuls. Il y avait deux autres personnes présentes dans la pièce et du peu de fois que je les avais aperçu, je pouvais pourtant dire qu’il s’agissait de policiers haut gradés. Qu’avais-je donc fait pour mériter pareille compagnie ? Peut-être allaient-ils me récompenser pour mes efforts ? Oh, je ne suis pas du genre à chercher la gloire et les médailles mais le fait de mentionner mes « performances » m’avait amené à penser à cela. Pourtant, ce regard ne me disait rien qui vaille… Allais-je être viré ? C’est vrai que j’ai irrémédiablement pensé à cela ensuite. Mais jamais ô grand jamais je n’aurai imaginé la suite des évènements. What the hell did you just say ? Come on, that is just impossible. I’m… What ? Il m’annonça de but en blanc que j’étais « promu ». Si on peut appeler le fait d’être expatrié vers les Etats-Unis pour soi-disant servir de modèle à la police New-Yorkaise une promotion… En somme, je faisais trop bien mon boulot et on m’évinçait de la bande. J’avais jeté un regard affligé alors que les trois hommes face à moi plaisantaient sur ma nouvelle affection, m’indiquant qu’on m’avait trouvé un co-équipier que je prendrai sous mon aile. I’ve always been working alone and now, I’m suppose to babysitt a new cop ? Come un guys, you’re kidding me ! Je venais de me faire avoir en beauté.

« Monsieur, il doit y avoir une erreur … »
« Mais non Clifford. Vous verrez, je suis sûr que vous allez vous entendre avec votre nouveau collègue. Ca vous changera de la routine britannique, non ? »
« Oui, monsieur. Bien, monsieur. A vos ordres, monsieur. »

17 décembre 2010

Je hachurais pour la troisième fois mon commentaire tout en maudissant mon partenaire de chambre. Stupide américain. Pourquoi fallait-il que mon collègue soit un gamin amateur de jeux vidéo ? Pourquoi fallait-il qu’il soit un gamin tout court ! Fucking shit, I hate you Smith. Stupid git, dammit ! L’imbécile ne connaissait visiblement pas la notion d’écouteurs et avait mis le son de ce foutu jeu de malheur à fond, me criblant les tympans d’une musique des plus énervantes. Comment étais-je sensé me concentrer avec pareil bruit de fond ? Calm down, everything is gonna be fine. Just don’t think about it. Breath slowly, think about your work and forget that stupid brat. Bon, reste calme Arthur, concentre-toi. Je disais donc… Oui, rapport d’observation en date du 17 décembre 2010. Le criminel prénommé Potier circule librement dans l’enceinte du bâtiment. Hélas, nous n’avons pas été en mesure de l’enfermer, l’hôtel ne possédant hélas pas d’endroits appropriés pour ce genre de situations. Il est donc naturel que nous formions des tours de garde afin d’observer le prisonnier. Il sera conduit à la prison la plus proche lorsque nous serons en mesure de quitter les lieux. Il semblerait que le criminel français ne soit pas le seul trouble fait dans cet hôtel. En effet, il nous a été rapporté d’étranges faits sur un pervers notoire et un exhibitionniste. Encore un… A croire qu’ils se sont donné le mot pour…

« Yes ! I just kick your ass ! »
« What the… ? Smith, stop acting so childish. Grew up and stop playing around me when I’m working ! »
« Oh com’on dude ! Smile a little bite ‘kay ? Geez, Ya know, you’re really pissed me off ».

Je hais ma vie. Le voilà reparti dans son jeu dont je ne sais pas trop quel est le but. Massacrer des monstres ? Quel but louable pour un représentant de l’ordre… Pathétique. Ce gamin va me rendre chauve ! Je soupire avant de jeter mon carnet à terre pour m’allonger sur ce semblant de lit. Misère, quel pays de rustres. Ma chère Angleterre me manque. La douce odeur du thé, les scones, le doux son de Big Ben… Non, à la place, ça sent la frite, le burger et le café serré sans parler que Big Ben, o dear God !, a été remplacé par une musique horripilante. Je soupire et finis par déposer mon oreiller sur ma tête, histoire d’étouffer un tant soit peu le son. C’est alors que je me mis à réfléchir à ce qui nous avait amené ici. Rien ne laissait présager que la journée du 12 décembre serait un véritable enfer. J’étais arrivé au bureau comme toujours à huit heures tapantes et avait rédigé quelques rapports en attendant que cet imbécile d’américain débarque. Une heure et demie de retard, il avait battu tous les records. Forcément, j’avais tué le temps en remplissant tous les dossiers, rapports et autres documents en retard. Smith m’avait souri et remercié pour avoir effectué son travail et je m’étais maudit de l’avoir fait. Cet idiot serait capable de prendre cela pour argent comptant et rééditer la chose… La journée avait passé avec une lenteur abominable, pourquoi avait-il fallu que je sois muté dans une petite bourgade paumée…

Sur le coup de midi, nous avions reçu un appel téléphonique d’une femme apparemment paniquée. J’avais pris l’appel et avais intimé la dame à garder son calme. Les gens ont tendance à hurler, parlé à une vitesse alarmante, rendant notre tâche des plus ardues. Impossible de les aider s’ils nous explosent les tympans ou s’ils mâchent leurs mots. Après s’être quelque peu calmée, elle m’avait alors indiqué qu’un exhibitionniste se promenait sur la plage alors que ses enfants étaient là, bon sang ! Soupirant de dépit, je pris les coordonnées avant d’indiquer au jeunot qui me sert de collègue qu’on faisait appel à nos services. Ultime erreur. Je n’aurai jamais dû aller là-bas. J’aurai du laisser le petit faire le boulot tout seul, j’en serai débarrassé ainsi mais non… Il avait fallu que j’aille sur place pour faire face à un français en train de se balader nu sur les plages. Sans aucune pudeur qui plus est ! Stupid French people. What does he think he’s doing ? Go back to your own country you pervert guy ! Après moult péripéties, surtout liées au fait que cet idiot parle peu l’anglais, il a enfin daigné se rhabiller et nous l’avons coffré. Enfin, je l’ai coffré car Smith ne semblait pas trouver utile de le faire. Come’on, he didn’t know. It’s ok, you won’t do it ‘kay ? Stupide américain. Comme si on pouvait laisser un exhibitionniste en liberté. Les mains derrière le dos, menottés, je conduisais cet imbécile de français dans la voiture lorsqu’il se permit de m’adresser la parole avec ses phrases des plus déplacées…


« Alors, mon mignon, you’re using this only at work or not ? »
« Shut the hell up, you git ! »
« Maybe you use that with him. Sure he likes it. Petit cachotier. »
« Will you just shut up ! You have the right to remain silent. Anything you says will be used against you in court. You have the right to consult with a lawyer and to have the lawyer with you during interrogation. If you are indigent, a lawyer will be appointed to represent you… »
« Quel homme sérieux. I think I love you, mon cher. »
« Stop acting like that ! I’m not a fag ! »
« Oh, I think your friend won’t be happy to hear you’re so mean… Vilain garçon ».

J’aurai du me douter, vu la manière dont il m’énervait lors de l’arrestation, que les choses n’iraient pas en s’améliorant. Cet imbécile réussit à se faire la malle à cause de l’inattention de cet imbécile d’américain. J’avais pourtant insisté sur le fait que ce français était vicieux et pervers mais non, monsieur le jeune promu n’avait pas écouté et c’est ainsi que nous avions du poursuivre ce foutu français sur ces routes caillouteuses et pleines de sable. Je m’étais accroché à la portière avec la force du désespoir alors que ce crétin de Smith conduisait comme un malade. Fucking shit, stupid brat, we’re not in one of your fucking games ! So slown down ! Mais non, monsieur le mangeur de burgers n’avait pas écouté, il avait accéléré, le français n’avait jamais été distancé. Ou peu. Il avait tout de même réussi à nous distancer suffisamment que pénétrer dans cet hôtel. Armé de nos pistolets, nous avions pénétré les lieux afin de le coffrer et …. Hélas, nous ne sommes jamais ressortis. Cet endroit cache quelque chose et je compte bien trouver quoi. Bon sang, pourquoi est-ce impossible de sortir ? Ça n’a pas de sens. Quand ce n’est pas Smith qui me fait une crise parce qu’il ne retrouve plus la batterie de sa PSP, c’est Potier qui est introuvable. My life sucks. This place is just a nightmare and my roomate is snoring all the time. I hate that man. I hate that french guy who believes that I’m gay and I especially hate the way Smith is sneaking around. Does this french guy was right ? Don’t tell me Smith is actually also gay ? For God Sake.

by ushitora
▪▪ Et toi derrière l'écran, viens ici! ♫♫

ϡ Pseudo : Ryry
ϡ Age : 23
ϡ Niveau rp : Une page word environ
ϡ Disponibilité rp : 7/7 (même si je ne devrai paaas)
ϡ Comment es-tu arrivé? Double compte, je n'ai pas pu résister
ϡ Un avis? Je l'aime ce petit Artie ♥
ϡ Code : .

Ryann Stalker

▌Date d'arrivée : 15/12/2009
▌Age du joueur : 36
▌Commérages : 2057


Ryann Stalker



Nyaaaaaa n'Artichou!!!!

T'as pas pu résister à son charme irrésistible d'anglais, avoue? :3
Courage pour la rédaction de ta fiche en tout cas! ^^
Invité
Invité


Anonymous



Bienvenue chez nous ; bienvenue chez les fous !
Arthur Clifford

▌Date d'arrivée : 21/06/2011
▌Age du joueur : 36
▌Commérages : 1104


Arthur Clifford



Voilà, terminée! Je te laisse regarder à ça Nath' (j'vais pas m'auto-vérifier xD).
Invité
Invité


Anonymous



Encore un blond, je vais faire comment mes ragots si tout tes peso sont blonds?

Sinon euh bon retour parmi nous ^^
Willow Lewis

▌Date d'arrivée : 19/01/2011
▌Age du joueur : 28
▌Commérages : 1342

http://the-stories-never-end.tumblr.com/

Willow Lewis



Rebienvenue =)

J'ai lu ta prez et j'ai été décontenancé par mes problèmes d'anglais >> ..
Nathaniel O'Bryan

▌Date d'arrivée : 02/12/2009
▌Age du joueur : 38
▌Commérages : 1422

https://pandora-box.forumactif.com

Nathaniel O'Bryan



Ryry, après tu viendras te moquer de ma blague sur "Artie"-chaud... Le légume... Boulet vas, file dans ta chambre! Arthur Clifford ♥ 'Cause British people rock ~ 619309
J'ai adoré ta fiche Ruru, cinglante et tout, héhéhé, je sens que je vais adorer ce personnage. Il te colle à la peau le petit Artie. Je te valide et puis bah le reste, tu connais, nan? xD
Arthur Clifford

▌Date d'arrivée : 21/06/2011
▌Age du joueur : 36
▌Commérages : 1104


Arthur Clifford



Mici Mici Mici Arthur Clifford ♥ 'Cause British people rock ~ 67454
Viii, encore un blond mais tu sais que j'ai une préférence pour les blonds *sifflote* Pourquoi tu dis ça Williwi? En tout cas, thank you very much everybody. Cops are here now, everything's gonna be ok. I guess....
Invité
Invité


Anonymous



Il faut qu'il parle anglais comme moi je le parle avec l'accent belge derrière Smile
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Arthur Clifford ♥ 'Cause British people rock ~