Hotel Dusk
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« Il n'y a que le coeur qui aille aussi vite que les hirondelles. »
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Willow Lewis

▌Date d'arrivée : 19/01/2011
▌Age du joueur : 28
▌Commérages : 1342


Dernière édition par Willow Lewis le Sam 31 Déc - 14:45, édité 1 fois

http://the-stories-never-end.tumblr.com/

Willow Lewis



Willow, je ne vous l'ai peut-être pas dit, mais a déjà fait plusieurs fois le tour de l'Hôtel Dusk car si elle y reste longtemps, autant qu'elle connaisse les meilleurs endroits. Le Hall est bien quand il fait chaud, elle a l'habitude de s'installer sur le petit sofa de l'entrée sous l’œil inquisiteur (mais habitué) du réceptionniste. Ensuite la pièce du séjour mais elle n'y traîne pas car il y trop de monde... Moins le soir donc elle y va plus la nuit. Le restaurant n'étant ouvert qu'aux heures de dîner, elle n'a pas trop le choix et y passe assez rapidement vu que par rapport à son ami 'Drew, elle ne mange pas tellement... Le bar en revanche est sympathique pour étancher sa soif et depuis sa retrouvailles avec Blue, les deux vieilles amies se font des bonnes soirées autour de quelques verres (et encore, beaucoup plus). La cuisine... Elle n'y rentre pas trop mais l'a repérée car un client ressortait couvert de fruits d'une tarte fraîchement jetée à sa figure. Ce qui ne lui pas donné envie de s'approcher plus que ça...

Ensuite, le premier étage propose divers couloirs qui attirent la curiosité et l’œil artistique de la Chinoise qui armée de son appareil photo s'éclate avec pas grand chose... Mais elle s'en fiche, il n'y a pas grand chose à faire ici de toutes façons ! A part lire... ce qu'elle fait aussi dans le placard à balais -bien peinarde. Elle a toujours des somnifères sur elle, au cas où et ayant envie de finir son livre, elle a prit ses cachets sur place et a donc dormi la tête posée sur une serpillière ... Enfin dormi, c'est vite dit, juste reposée quelques heures. Mais son endroit préféré reste la buanderie où le bruit des machines la détende et lui donne de rythme à sa lecture. Elle aime s'allonger sur les machines mises côte à côte et a sûrement vécu le même genre de scène que dans le placard...

Troisième et dernier étage : toujours des couloirs photographiés mais des trucs beaucoup plus intéressants ! En premier la bibliothèque qui permet de garder au chaud certains de ses livres pour l'Université (si elle y retourne) pour lire avec joie tous ceux qui sont ici. Elle y rencontre aussi Ruthel, ami lecteur et c'est un de ses endroit bénis de l'hôtel. Et puis il y a la salle de jeu où on peut passer des bons quart d'heure... Enfin, vers Noël c'était pas le top mais ce n'est pas la faute de la pièce je pense.

La cage d'escalier. Oui, le dernier endroit dont je ne vous ai pas parlé et pour cause c'est le dernier où est Willow en ce moment. Cette endroit mène à un accès au toit et elle a cru qu'il serait la clef pour sortir de cet hôtel de fous. Mais ils ont bien sécurisés leur propriété car impossible de l'ouvrir (et c'est pas faute d'avoir essayer à s'en déboîter l'épaule). Elle aurait pu développer de la rancune envers la cage d'escalier en elle-même mais ce ne fût pas le cas. Endroit isolé, elle aime s'installer sur une des marches et bouquiner en paix. Ce qu'elle fait d'ailleurs à cet instant, plongée dans un livre aussi épais qu'un dictionnaire mais elle pourra vous argumenter longtemps comme quoi il est passionnant.. Mais une autre fois car un "élément perturbateur de base" comme dans chaque début d'histoire se ramène et ce dernier se prénomme Matt McCravatt, un blond (encore) qu'elle a déjà vu de loin. C'est l'occasion de se rapprocher !
Matt McCravatt

▌Date d'arrivée : 09/06/2011
▌Age du joueur : 38
▌Commérages : 463


Matt McCravatt



[Attention, certains propos de Matt peuvent choquer les âmes sensibles]

Un jour mon prince viendra. Un jour, on s’aimeraaa. Dans son château, heureux, s’en allant, goûter le bonheur qui nous atteeeeeend… Pfff… Pourquoi fallait que son cousin chante cette chose ridicule ? Déjà, primo, ce n’est pas un prince qu’il devait attendre mais une princesse ! Raaah, faut tout lui apprendre. Heureusement, Matt était THE parfait chevalier servant, splendeur de la nature dans toute sa grandeur, il était THE king of the divan. Wouhouuu ! Il était docteur es. Drague et il allait donc lui enseigner l’art suprême du déflorage de princesse (et non de prince, diantre !). Notre jeune blond à la peau parfaite se leva et balança dignement un coussin en pleine tête de son cousin. Mon petit Jamie, ce n’est pas un prince que tu dois attendre et surtout tu te dois d’aller compter fleurettes aux demoiselles si tu veux les déflorer. Sinon, t’es mal barré parce qu’elles ne feront pas le premier pas. Sauf si ce sont des gourgandines de basse-cour comme sa chère et regrettée Gisèle. Ah, fidèle bestiau… C’est qu’elle avait du caractère et elle n’hésitait pas à lui voler dans les plumes (normal pour une oie me direz-vous mais bon…). Matt se dirigea d’un pas princier jusqu’au pieux de son cousin adoré et tenta de lui expliquer le fond de sa pensée.

« Jamie, les poulettes, elles caquettent. Les coqs, ils hurlent au matin et puis ils font dodo. Enfin, non, mais… si… Enfin… Sauf s’il y a des poussins… Enfin, soit. Arrête de chanter, t’es pas une poule, n’est-ce pas ? Donc, ne ponds pas des œufs, tu n’y arriveras pas ! »

Fier de son petit speech, Matt abandonna son cher et tendre dans la chambre et alla se rafraichir dans la salle de bains. C’est que tant d’émotions, ça laisse des traces… Sa peau moite fut savamment nettoyée par le jet d’eau puissant tandis que notre jeune ami se permit quelques vocalises matinales. Qui n’a jamais aimé entendre ce son divin qu’est « Black or White » à huit heures du matin ? Propre comme un sou neuf, Matt rendit visite à dame toilettes. Bah oui, c’est que ça vous donne envie d’entendre l’eau couler ainsi… Après une séance de plus d’une heure à faire popot (on passera les détails mais notre jeune héros se permit de faire des sudokus sur le pot), Matt ressortit fier comme un pinson pour s’apercevoir que Jamie n’était en vue nulle part. Oh ! Aurait-il décidé de mettre en application ses prodigieux conseils ? Les mains sur les hanches, l’adolescent se mit à rigoler à gorge déployée à tel point que ce cher Kunstkamergericht en fut choqué et s’en retrouva caché dans son coffre à bubulles. Autant dire que la pauvre bête fut vite mise à découvert vu que le couvercle du coffre se relevait toutes les dix secondes… Mais Matt ne fut guère conscient du choc traumatisant qu’il affligea en passant et il quitta les lieux pour trouver une poulette à draguer.

Parce que c’est bien connu, les coqs, ça aime s’amuser. Matt se rappelait très bien du petit père coquelet qui avait dansé sur le dos de miss poulette numéro 2. Ou bien était-ce la numéro 3 ? Peu importe, elles étaient toutes les deux brunes avec des tâches noires alors on ne les différenciait pas… Les mains dans les poches, notre ami sifflotait gaiement tout en se promenant. Il dragua la minette de vingt-quatre ans et se ramassa une gifle magistrale. Mais il ne l’avait pas mérité celle-là. Il en dragua une autre, elle n’avait que douze ans. Il se ramassa une gifle magistrale de ses parents. Il l’avait peut-être mérité celle-là. Enfin, s’énerver pour si peu… Il ne l’avait pas encore culbuté non plus… Pfff… Petites natures… Aucun n’avait son charisme, sa grandeur… Si ce n’est Ryann mais bon, même lui, ne l’égalait pas ! C’est bien connu, la perfection, ça ne s’atteint pas. C’est ainsi que notre jeune taureau sauvage débarqua dans la cage d’escalier ou il avisa une jeune demoiselle à dépuceler. Oh Oh Oh. Magnifique portrait qu’une petite noireautte à divertir de sa musculature si bien fuselée. Matt s’avança à la Eldo Machone et arriva devant notre jeune asiatique avec un sourire et un regard provocateur.


« Bonjour jeune fleur du matin. Je m’appelle Matt. McCravatt. Retiens bien ce nom jeune enfant car tu as devant toi le barbecue de l’amoooooor. Je suis le taureau sauvaaage enfermé dans sa caaage. »

Le tout ponctué par un petit accent italien ou espagnol, Matt n’était pas doué en langues alors… Enfin, pas de cet ordre-là dirons-nous… (encore qu’admettre qu’il fut doué en langue d’une toute autre nature est peut-être présomptueux de notre part).
Willow Lewis

▌Date d'arrivée : 19/01/2011
▌Age du joueur : 28
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Dernière édition par Willow Lewis le Sam 31 Déc - 14:48, édité 3 fois

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Willow Lewis



Il faut savoir que, comme tout escalier qui se respecte, celui où était confortablement (et oui) allongée Willow, un bras derrière la tête pour faire effet coussin et la jambe droite le plus repliée que le permettait son jeans pour faire support à son livre. Elle était bien et le suspense montait à son plein car le pseudo-policier accusait (à tord, bien sûr) le plombier et demi-frère de la victime qui avait été tué avec une clé à molette dans le salon, de quoi faire penser à une partie de cluedo romancée ! Mais ce qui était le "must" c'était l'humour noir et excellent de l'auteur qui racontait à la première personne à la place de la victime.

Bref, c'était énorme comme bouquin trouvé au hasard dans la bibliothèque de l'Hôtel et elle ne voulait en aucun cas être dérangée en plein milieu de sa lecture ! C'est pourquoi, quand elle entendit des bruits de pas dans l'escalier, elle ne réagit pas. Et que quand il parla avec sa voix (faut pas se mentir) assez louche, elle ne fit qu'une chose. Elle tenait son livre de la main droite et c'est donc la main gauche qui se leva à l'attention de l'étrange gars qui venait de se ramener genre "Trente secondes, je finis ma page". Ce qu'elle fit, en prenant le soin de sourire largement à une remarque de la victime qui racontait toujours aussi bien. Elle referma le livre sur son marque-page, le posa sur la marche au dessus d'elle et regarda enfin de plus près l'intrus de sa lecture.

Il devait même pas avoir la vingtaine, n'était pas très grand et pas très bien bâti, blond, un sourire crétin sur le visage, bombant le torse pour faire avantageux bien que quand on a rien... y a rien à faire. En fait, le premier sentiment qu'eut Willow à part se demander ce qu'il faisait là, c'était de la pitié... Ouais, il semblait vraiment pas se rendre compte à quel point il n'était pas extraordinaire et avec ses dires, il ne s'arrangeait pas ... Elle se releva tranquillement, s'étirant avant de reprendre son livre dans une main. Elle regarda alors l'heure et jura Oh My Dictionary ! Déjà neuf heures et demi ! Et elle était là depuis sept heures à peine et n'avait pas mangé... Il était temps de bouger un peu... Ouais mais l'ado blond posait encore pour elle et elle n'était pas si méchante pour le laisser en plan. Elle lui expliqua donc très clairement :


- Désolé mais... Ça ne va pas être possible du tout. Donc on va faire un truc simple : je m'en vais par là et toi tu restes ici dans ta cage, tu y es très bien ! Ensuite, cher Matt, mon nom je vais pas te le dire car à présent tu vas m'oublier pour ta propre sécurité : si tu m'approches de trop, je pourrais facilement te mettre une droite... Réflexe, vois-tu ?


Elle remarqua que d'ailleurs sa joue gauche était bien rose et eut la pensée qu'elle n'était pas la première à y penser ... Mais pas encore à l'avoir fait. Elle ne lui voulait aucun mal mais ce genre de "spécimen" très peu pour elle. Elle ne courrait pas après l'amour mais si elle avait un petit copain un jour ce ne sera pas un ado utilisant ce genre de propos hautement stupides et encore plus la dérangeant dans sa lecture... Bien qu'il lui ait au moins permis de s'étirer un peu : ça, ça faisait du bien !

Mais non, ce McCravatt ça n'allait pas le faire. S'il avait par exemple demandé ce qu'elle lisait, qui lui avait sourit simplement, qu'il avait glissé quelques blagues et ... surtout s'il avait plus son âge et un réel intérêt, oui on aurait pût croire qu'elle réagisse autrement... Mais bon, là, il n'était même pas dans la case "probable amis" vu comment c'était parti ... Bref, qu'allait-il faire à présent ? Pas la sérénade comme même ? Elle le voyait parfaitement capable de faire ce genre de "stupidité" et eut soudain, très peur... Cette peur se caractérisait souvent (et à cette instant) comme un sourire crispé et figé, les yeux fixant l'interlocuteur, prêt à tout entendre... mais pas avec autant d'envie ...
Matt McCravatt

▌Date d'arrivée : 09/06/2011
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Matt McCravatt



Il existe de jeunes demoiselles en cette Terre qui sont comblées lorsqu’un macho – car il faut bien l’avouer, Matt est un macho’ champion toute catégorie – vient leur faire la cour. Hélas pour notre jeune McCravatt, miss Lewis n’appartenait point à cet ordre-là. Mais n’allez pas vous imaginer que cela démonte le jeune héros de notre histoire pour autant. Pensez-vous donc. Plus on le rejette, plus Matt s’entête. Il est borné le petiot et il n’est pas prêt de changer si vous voulez tout savoir. Trop tard, l’arbre est trop profondément enraciné et surtout tordu depuis bien trop d’années… C’est pourquoi lorsque la jeune Willow – fleur du matin comme il la prénomme si bien – lui annonça de but en blanc que ça n’allait pas être possible du tout, Matt n’en fit pas grand cas. Ahaha ! Elle a envie de jouer au dompteur de lion ? Fufufufufu, il fallait le dire de suite. Il allait rester sagement dans sa cage, attendant de se faire fouetter par son maître. Non, vous ne rêvez pas. Matt est non seulement macho, prétentieux et un dragueur bien pathétique, mais il est aussi idiot. Comble de malheur. Willow avait pourtant été claire à ce propos. Dégages, tu pollues mon oxygène. Mais non, le jeune héros de notre histoire n’avait rien compris, avait tout dévié à sa manière, et interprétait ce refus comme une envie S.M de sa vis-à-vis.

« Voyons, voyons. Ma chère fleur adorée, si tu passais tes si délicats poignets entre les barreaux de ma cage, tu en viendrais à te les abîmer. Sors le fouet plutôt, il passera bien plus facilement et j’apprécie cela grandement. »

Le spécimen McCravatt est masochiste pour couronner le tout. Car voyez-vous, le message était suffisamment clair pour tout être humain normalement constitué que pour comprendre qu’il fallait rebrousser chemin. Mais non, Matt McCravatt ne comprend rien. Pas étonnant qu’il se ramasse des claques à profusion. Mais que voulez-vous, quand on aime se faire dominer par une paire de seins, on ne s’étonne plus de rien. Ainsi donc, puisque notre jeune ami est idiot et masochiste, pas étonnant qu’il s’est approché de la jeune femme dans l’unique but de lui retirer l’objet de son attention. Son livre. Parce que oui, c’est bien connu, un Matt McCravatt, on en voit qu’un seul dans sa vie. Alors, ma chère demoiselle, vous lui ferez bien l’honneur de l’écouter et surtout de l’admirer plutôt que de vous plonger dans ce morne ouvrage, non ? Oui, vous l’aurez compris, monsieur aime être le centre de toute attention. Le jeune imbécile porta quelques instants son regard sur l’ouvrage, lisant le titre et feuilletant çà et là rapidement. Misère, aucune image. C’est d’un inintéressant affligeant ! Matt finit par poser l’ouvrage sur les escaliers tandis qu’il s’installait aux côtés de sa si charmante compagne de matinée. Subtilité n’est pas son fort alors pas étonnant qu’il s’approcha jusqu’à frôler les lèvres de notre charmante chinoise pour lui dire ces quelques mots.

« Ta beauté n’a d’égale que ta force de caractère. Je suis bien chanceux de t’avoir rencontré en ces lieux ma belle et douce. Me feras-tu l’honneur de te déflorer en cette si belle matinée ? »

On y aurait presque cru… Presque… Tout réside dans ce mot. Mais non. Le ton paraissait poli, charmeur et charmant… Mais la désillusion est grande vu comment le gosse a conclu sa tirade. On aurait pu croire qu’il avait retenu la leçon et qu’il agirait tout en subtilité mais bon… L’espoir fait peut-être vivre mais parfois, il faut redescendre sur terre et admettre que les miracles ne se réalisent pas. Après tout, il n’y a qu’un imbécile pour oser être aussi direct envers une demoiselle qui a déjà clairement fait comprendre que le direct, ce n’était pas son truc. Mais soit, on parle de Matt alors c’est normal qu’il est agi de la sorte… Tapera, tapera pas ? On se demande comment notre jeune chinoise va réagir face à ce dépravé aux mots si peu recherchés. Mais qu’importe la réponse, Matt ne se découragera pas pour autant. Il nous l’a déjà bien prouvé auparavant. Et il poursuit son petit bonhomme de chemin dans son futur – et ô combien mérité – lynchage en règle puisqu’il vient de combler les derniers centimètres qui séparaient ses lèvres de celles de notre jeune demoiselle. Quand on est un Matt McCravatt, on ne demande pas la permission, on la prend ! L’instant fut bref, rien de bien élogieux à ce propos. Juste un contact entre deux paires de lèvres et les propos de notre jeune ami ne risque pas de plaire si vous voulez mon avis car…

« C’était plutôt décevant. Je dois bien l’admettre. Mais bon, je suis altruiste alors je serai heureux de réitérer l’expérience pour ton plaisir personnel. Car avoue, mes baisers sont exceptionnels ! »

C’est définitif, si avec ça, il ne se fait pas massacrer, on ira se reconvertir en curé. Madame subtilité n’a jamais rencontré papa et maman McCravatt lorsqu’ils ont décidé de féconder l’ovule par un soir de… Erm… On s’égare et puis cela n’a pas beaucoup d’intérêt. La vie des ovules et des spermatozoïdes n’est pas trépignante. Enfin… Peut-être que ceux du jeune adolescent étaient plus qu’intéressants ? Vu le résultat, l’origine de la « chose » devait aussi laisser largement à désirer… Mais soit, nous nous égarons encore. Plus sérieusement, nous tombons dans une déchéance sans noms. C’est bien parce qu’il y aura des rebondissements sinon nous risquerions d’être confronté à une série B soporifique et idiote. Les dialogues ne volent pas hauts, le « héros » n’est guère mieux et son attitude a tout du burlesque. Il n’y a que l’héroïne pour rattraper le tir. Encore heureux, il y a quelque chose qu’il vaille la peine de poursuivre le visionnage de cet épisode catastrophique. Et là, notre jeune ami (s’il nous entendait) crierait au scandale en indiquant que non, il n’y a pas qu’une chose qui vaille l’intérêt. Il y a lui, tout simplement. Monsieur perfection, le barbecue de l’amour, le taureau sauvage qui fera des ravages. Ah, ça, pour sûr, des ravages, il va en faire. Mais il est difficile de dire si ces derniers seront ceux qu’il avait imaginé…
Willow Lewis

▌Date d'arrivée : 19/01/2011
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Dernière édition par Willow Lewis le Sam 31 Déc - 14:52, édité 1 fois

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Willow Lewis



Il semblerait que Willow avait vu juste, malheureusement pour elle. La phrase de McCravatt en plus de faire lâcher un soupir à la Chinoise, il la fit faire une tête dépitée et la pensée d'avoir un pistolet sous la main lui apparu non pour se tirer une balle sur sa tempe mais sur celle du blond arrogant et crétin en face d'elle. Oui, parfois elle a des pensées sadiques mais tant qu'elle n'arrive pas à la pensée de l'étranglement, il n'y a rien à craindre réellement.

N'empêche, il avait atteint tout de même le stade "Imbécile timbré à tendances mazochistes chroniques" avec l'idée du fouet... Déjà la cage ça craignait mais là... Bref, qu'importe l'instrument, sa seule volonté était de se trouver loin de ce dingue. Prenant le premier objet à regarder -son livre, elle espérait contourner l'adolescent en lisant (pour la douzième fois sûrement) la quatrième de couverture et finir au plus vite l'entrevue non voulue.

Le problème c'est que Matt ne semblait pas enclin à ce départ anticipé car il lui prit naturellement le livre des mains sans rencontrer de résistance. Ignorant la main tendue, il le feuilleta mais on sentait qu'il n'était pas né sous l'oeil de la Déesse Littérature. Il referma le livre avant de le poser sur l'escalier. Elle aurait bien voulu le récupérer mais il s'installa entre l'objet et sa propriétaire. Décidément, il l'agaçait.

Mais il fit pire en s'approchant -trop près- du visage de la Chinoise en disant de sa même voix faussement lyrique :


- Ta beauté n’a d’égale que ta force de caractère. Je suis bien chanceux de t’avoir rencontré en ces lieux ma belle et douce. Me feras-tu l’honneur de te déflorer en cette si belle matinée ?


Les mots "doux" commençaient à lui taper sur le système mais en plus d'être absolument incapable de parler normalement, il utilisait à présent un vocabulaire tellement déplacée que les yeux bridés s'agrandirent, avouant de la surprise... mais aussi une part de dégoût. Et alors que ses lèvres (déjà trop près) s'approchèrent, elle avait déjà détourné la tête de sorte que ce n'était pas le baiser qu'il désirait. D'ailleurs, il avoua sa pensée en continuant sur sa lancée alors qu'elle avait envie de vomir après ce qu'il venait d'oser faire :

- C’était plutôt décevant. Je dois bien l’admettre. Mais bon, je suis altruiste alors je serai heureux de réitérer l’expérience pour ton plaisir personnel. Car avoue, mes baisers sont exceptionnels !


Oui... Là, c'était du dégoût pur, comme Willow en n'avait peu ressentit. D'ailleurs, elle se demandait comme elle avait pût arriver si vite à un tel sentiment mais elle ne voulu pas réfléchir plus que quelques secondes. Elle glissa sa main sur sa bouche pour l'essuyer avant de plaquer sa paume sur le visage au niveau de la bouche de ce crétin le coupant sur son flot de stupidité digne du gamin égocentrique qu'il était, avant de déclarer avec des dents serrées comme si son corps voulait retenir la rage de son esprit :

- Idiot, Gamin, Arrogant, Pervers, Vulgaire. Oui, je ne trouverais jamais assez de mots et encore moins qui ne dépasse pas trop de votre compréhension. Même mieux, on pourrait dire que Matt McCravatt pourrait avoir sa place dans le dictionnaire pour pouvoir rassembler les pires adjectifs de ce monde et que vous possédez. Peuh ! Vous avez réussit à me faire ressentir du dégoût, chose que je répugne au plus au point en ma personne !


Elle s'essuya sa main sur l'épaule de l'adolescent avant de se lever et de récupérer son livre. En se penchant sur la marche pour le récupérer, elle lui glissa :

- Sachez que je n'ai pas envie de me blesser la main en vous donnant une giffle de toute la force que vous le méritez mais si je revois votre visage à porter de main, vous ne verriez pas l'aube d'un nouveau jour McCravatt !


Elle avait finit sa phrase comme si elle blasphémait mais ne s'en inquiéta pas. Elle se releva et monta les marches qui menait au palier du dessus, le plus haut et donc celui qui donnait normalement accès aux toits. Plusieurs fois, elle avait voulu l'ouvrir, sans succès mais son instinct lui soufflait que c'était une meilleure issue que les couloirs des chambres. Et il avait raison.

Sur le sol, il y avait un petit objet brillant. S'il n'y avait pas eu un rayon de lumière de la fenêtre, elle serait sûrement passé à côté mais la chance semblait vouloir s'excuser de ce début de matinée. Elle ramassa ce qui était en réalité une clé et fit la première chose qui lui vint à l'esprit, c'est à dire enfoncer la clé dans la porte à proximité menant aux toits. Et la chance semblait vraiment désolée car la porte impénétrable s'ouvrit.

L'extérieur. Cette chose si simple qu'elle ne voyait qu'à travers les fenêtres et qui semblait si loin depuis son arrivée à l'Hôtel apparut devant elle. L'horizon, le ciel, le soleil se levant, les quelques arbres ici et là, accompagnés des autres petites maisons... Elle semblait redécouvrir un monde extraordinaire mais n'osait franchir la porte pour marcher à l'extérieur, comme s'il était trop beau pour briser l'instant d'observation. C'est alors qu'elle bascula en arrière, lâchant la clé alors dans sa main qui vola on ne sait où. Poum. La porte... NON ! Elle poussa la porte pour qu'elle s'ouvre, chercha la clé à tâtons... sans succès. La malheureuse d'argent avait sûrement été éjectée à l'extérieur, comme pour faire bonne mesure à cette tragédie contemporaine. Mais pourquoi était-elle tombée ? Comme guidé une nouvelle fois par l'instinct, son regard se posa sur McCravatt. Oui, elle avait décidé qu'il serait son bouc émissaire parfait vu qu'il avait tendu la perche pour se faire battre. . .


[Hrp] J'avais envie d'utiliser ma clé de posteur du mois comme prétexte pour bien me défouler par la suite sur Matt x)) Mon rp n'est sûrement pas terrible (j'ai encore l'impression de l'avoir fait à la va-vite >,<) mais bon, tu attends déjà depuis trop longtemps ! Comment Matt va réagir selon toi n__n ? [/Hrp]
Matt McCravatt

▌Date d'arrivée : 09/06/2011
▌Age du joueur : 38
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Matt McCravatt



Spoiler:

Il n'y a rien de plus dramatique qu'un soap maléfique. Cousin de la sorcière et petit ami de la belle-mère de son père, le soap était une chose tellement atroce et immorale que beaucoup de parents n'osaient point en parler à leurs enfants de peur de les transformer en vénale. Ou serait-ce les vélanes? Qu'importe, le soap était une malédiction dont nous nous serions bien passés, avouons. Hélas pour nous (quoique la jeune « fleur du matin » soit plus à plaindre c'est certain), nous vivions désormais un vrai soap comme seule mama pope les fait. Si, la mère du pape est une véritable savate mais qu'importe car rien n'effraie le porteur de cravate. Mais cessons donc cette digression et revenons au sujet en question. Matt était donc assis face à une belle fleur toute jolie. Il l'avait embrassé et s'en serait bien garder vu comment c'était. En même temps, la jeune fleur était toute timide et elle avait détourné les yeux et n'avait ainsi point reçu le baiser qu'elle attendait à son insu. Mais en parfait gentleman qu'il était (ah bon? On ne l'aurait pas cru vous me direz, et à juste titre), il s'était donc proposé pour réitérer cette expérience, empli d'assurance.

Mais il fut coupé en plein élan tandis que la jeune chinoise l'engueulait prestement. Les dents serrées, elle l'accusait d'être un idiot de gamin, arrogant, pervers et vulgaire. Fufufufufu, la pauvre fleur n'avait point encore compris qu'elle avait face à elle une divinité qui avait pris forme charnelle pour batifoler en toute tranquillité. Maiiis chuuut, il s'agissait là du plus grand de tous les secrets. Certes... Certes... Opinons de la tête et oublions ce fâcheux secret sans queue-ni-tête. Toujours est-il que le jeune « dieu » souriait tel un bienheureux alors qu'on lui assénait des mots miséreux. Si c'est pas malheureux d'avoir affaire à un tel neuneu... Mais soit... Qu'importe que le vent hurle, jamais la montagne ne se noie. Ou quelque chose comme ça. C'était le grand-père du voisin de son père qui avait dit ça à papa McCravatt quand il était encore au bac à foins au fond du jardin. Ainsi donc, Matt ne savait pas ce que cela pouvait bien dire mais il devait bien s'agir assurément de quelque chose de très intelligent du coup il réfléchissait à ce sage mantra en oubliant la remontrance de notre jolie semence. Pauvre Willow... Tu ne te doutais pas d'être tombée sur un idiot au quotient moindre que celui d'un marshmallow.

« On pourrait dire que Matt McCravatt pourrait avoir sa place dans le dictionnaire pour pouvoir rassembler les pires adjectifs de cette Terre! »

Ça, par contre, ce n'était pas tombé dans l'oreille d'un sourd. Matt cligna des yeux plusieurs fois avant de sourire tout heureux comme il se doit. La belle plante verte, futur marécage de Jamie lorsqu'elle serait passé dans son lit à lui (pas celui de Jamie), la jeune chinoise venait de lui tendre une ardoise sur laquelle elle présentait son nom en lettres dorées gravé parce qu'il était tellement parfait qu'il méritait d'être ami avec Robert, peut-être même Hachette, qui sait? Non, vous ne rêvez pas, Matt n'avait encore rien compris, une nouvelle fois. Mais était-ce de sa faute s'il avait une sélection auditive des plus actives? Non. Était-ce sa faute si Willow – en se relevant – s'essuyant tout contre lui prestement? Non. Donc, tout était fait pour que Matt poursuive son petit délire en toute tranquillité. Pas sa faute au petiot, merci bien de le noter. Une nouvelle fois, les oreilles de la cravate du père fouettard firent abstraction des propos noirs de notre jeune chinoise sans espoir. Outrée au plus haut point, elle quitta les lieux vers d'autres cieux bien plus loin. Erm, navré pour cette métaphore, nous trouvions que ça sonnait for.

Parce que dire qu'elle se dirigeait vers la porte de l'extérieur n'avait rien comme grandeur. A force de côtoyer l'esprit de Matt McCravatt, nous finissons par tout voir en grand (enfin, en quelque sorte). Tendant les bras vers sa conquête de la journée (et accessoirement future belle-sœur soyez en assuré), Matt comptait lancer un cri de désespoir à faire peur à tout esprit dans le noir quand soudain, la porte s'ouvrit enfin. La porte? Quelle porte? Mais celle qui menait vers l'extérieur pardi! Vous ne suivez vraiment rien... Pfff... Normal, vous n'êtes pas aussi brillants, fufufufufufu. Erm, nos plus plates excuses pour cette mégalomanie incontrôlée et inattendue. Matt se releva vite fait bien fait, histoire d'empêcher sa belle plante à manger déguerpir sans un dernier baiser. Un pied sur une marche, l'autre trois marches plus bas, il s'agissait là de la position parfaite pour s'agenouiller comme dans les films de navet. Vous savez, ceux où les princes déclarent leurs flammes et où la princesse ne brûle pas et s'en va? Non, mais il va falloir revoir toute votre culture cinématographique. C'est catastrophique!

C'est ainsi qu'il s'apprêtait à la supplier lorsqu'elle trébucha et que la porte se referma. Comme ça. Zbam. Tada. Plus rien et plus voilà. Fufufufufu, la magie venait d'opérer et le rituel venait de briser, cassant la lunette et la chasse du w.c. Mal aimé. Ou bien était-ce la lunette du télescope, ami de notre cher Cyclope? Oh, mais voilà pourquoi ce dernier n'avait qu'un seul œil, c'était parce qu'il s'agissait d'un œil télescopique, s'agrandissant à souhait. Mais soit, nous dévions, revenons-en à notre circulation. Les embouteillages, c'est une horreur, surtout quand il y a des travaux. Erm... Soit, nous disions donc... Ah oui! Willow avait ouvert la porte du paradis. Hélas, elle n'était plus pure depuis leur dernier baiser du coup, Saint Pierre referma la porte sans s'inquiéter. Willow (ou bien était-ce Pierre, le colvert, ami du vieux Robert, dictionnaire de notre ami tortionnaire) venait de couper court à sa seule échappatoire tandis que Matt la vénérait car il ne devrait pas s'agenouiller, se rabaisser au niveau de sa future fiancée de cousin adoré car sérieux, la perfection ne décline pas, elle s'élève.


« Ah, tant mieux. J'ai bien cru qu'il faudrait que je m'agenouille et te supplie pour que tu me reviennes, pardi! Les perdrix n'ont jamais rencontré Idéfix, ce qui explique qu'ils n'aient pas de pics, ni même de trèfles car les chiens ne sont pas bien résistants face à une rafle. Enfin, maintenant que tu m'es revenue, Mathilde, marions-nous. Et toi, la servante, la Maria, va dresser mon grand lit de draps. Puisque Mathilde m'est revenueee. »

A qui s'adresse-t-il? Au pauvre bananier qui séjournait eu-haut de l'escalier. Normal qu'il s'appelle Marie, il va bientôt monter au plus haut des cieux et rejoindre Jésus son fils bienheureux. Serait-ce une pouce de bambou ou bien un mini bananier? Nul ne le sait car personne ne l'a jamais vu tandis qu'il montait. C'est triste, vous savez? On aurait pu enfin connaître le secret de la plus grande création de toute la nation. Hélas, nous n'en serons davantage et vu qu'il ne s'agit point du sujet principal de notre récit, nous ne nous questionnerons guère plus sur cette naissance ou bien était-ce renaissance? Tiens, Jésus était-il ami avec De Vinci? Excellente question mais nous en reparlerons à la fin de la saison. Quand on vous disait que les soap font pitié, on n'était vraiment pas loin de la vérité. Bien qu'on ne puisse désigner notre histoire présente par une soupe traumatisante, il faut l'admettre, notre récit à de quoi vous rendre perplexe pour perpète. La clef avait pris la poudre d'escampette, laissant la princesse seule face au prince des claquettes. Il ne manquait plus qu'un baobab pour danser avec Maria et notre histoire serait totalement farfelue, comme jamais.
Willow Lewis

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Willow Lewis



C’était le matin mais Willow en avait déjà assez. Elle qui supportait d’habitude la fatigue se sentait exténuée, vidée d’énergie et remplie de stress à la place. Elle se voyait bien, quelque part loin d’ici, pas dans une autre pièce de l’Hôtel, non, plus loin, plus loin de Boston, plus loin des Etats-Unis, en Chine tiens, bonne destination… Loin de tous les tracas et de toutes les rencontres farfelues accomplies ici. Loin de toutes les crises d’énervement qu’il ne lui arrivait jamais auparavant et qui n’aurait jamais dû arriver. Et enfin loin de tous ces gens qui ne faisaient que la compresser dans ses problèmes et lui donnait envie de se planquer dans un château de sable au milieu d’une île déserte. Et ce matin là, Matt McCravatt était bien mal tombé pour balancer ses sérénades (dignes des parodies les plus ringardes qui dans ce cas-ci n’étaient nullement ironiques) à la jeune Chinoise qui avait beau être une personne tout à fait sensible ne fut pas toucher droit au cœur par des histoires de cage et autres fouet.

Au contraire. Et le fait d’être par terre à chercher vainement une clé avec vu sur un blond faussement aguicheur qui parlait à présent de mariage avec une certaine Mathilde et s’inventait des amis imaginaires (faut pas s’en étonner) dont une servante Maria. La pauvre Will était passé par bien des émotions en quelques minutes mais ce qui était alors du dégout devint soudainement de l’ahurissement avant de se figer dans un pur découragement : ça sert à rien de comprendre quand il n’y a rien à comprendre, t’as beau chercher, avec certains la seule chose que tu trouveras sera un mur pour t’y lancer. Ce fut donc sur cette pensée plus ou moins philosophique qu’elle se releva en s’époussetant les vêtements, lâchant un soupir avant de se lancer, mettant de façon assez maladroite sa main sur l’épaule de Matt :


- Matt. On se connait depuis même pas dix minutes mais ça ne va vraiment pas être possible. Tu n’as pas l’air méchant, juste bercé trop près du mur étant petit mais… je t’assure, en cherchant bien tu trouveras quelqu’un capable de passer outre des délires éveillés. Pour te montrer à quel point je suis en mesure (c’est un exploit) d’oublier tous ce que tu m’as dit et accepter ta présence aussi près de mon espace vital, je vais te donner mon nom et même… c’est dur… et même te proposer d’autres discutions … que j’espère moins azimutées et surtout moins flippantes.


Elle s’accepta une petite pause, ses deux mains essayant d’être moins fébriles qu’à l’origine. Elle venait sûrement de faire une grosse gaffe mais elle se voulait positive et capable d’ouvrir son esprit à tout, à vraiment tout, et d’au moins essayer une vision plus amicale et non directe comme lui ou énervée comme elle.


- Voilà. Alors je m’appelle Willow. Pas Mathilde, Maria ou je ne sais ce que tu serais capable d’inventer comme prénoms… Donc, qu’on soit clair : plus de mariage, baiser et autres cas amoureux plus ou moins physiques ! Je sens qu’on va rester encore quelques temps dans cet hôtel pourri alors… alors autant partir sur de bonnes bases non ? Chacun donnant du sien ! Et pour commencer… tu pourrais m’aider à chercher la clé que j’ai fait tomber… Je voudrais vraiment profiter d’un bon bol d’air frais : pas toi ?


Elle avait dévoilé son premier sourire, plus ou moins franc certes, ses yeux se voulant bons et non noirs. Bien sûr le risque que Matt agisse encore de façon stupide était loin d’être à exclure mais il pourrait au moins faire quelques efforts et s’approcher d’une fille sans lui sauter dessus ! Du moins, je pense… Parmi toutes les filles de l’Univers, de tout âge et de toute origine avec qui veut sortir McCravatt, il pourrait au moins en avoir une comme autre chose qu’un râteau lamentable… Mais pour cela il faudra que Matt pense déjà un : qu’il n’est pas le centre du monde désiré par tous et donc en deux : que d’autres personnes peuvent rester avec lui non en l’enviant mais juste en l’appréciant.

Spoiler:
Le conteur

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Le conteur




La patate vaudoue permet à son utilisateur de faire plier l'adversaire sous sa volonté. Enfin, presque... Il ne faut pas pousser bobonne dans les orties non plus! Willow a donc lancé un "sort" contre Matt, l'obligeant à suivre sa volonté pour le prochain tour. Concrètement, Matt devra arrêter de draguer à tout va la jeune "fleur de printemps" lors de son prochain post. Bon jeu.

Le conteur

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PS : 2ème relance, dans quinze jours, sans réponse, je clôture Wink
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