Hotel Dusk
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On en reprendrait ! [G.L Alexander]
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Henri Potier

▌Date d'arrivée : 03/08/2011
▌Age du joueur : 30
▌Commérages : 606

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Henri Potier



Henri fixait sa gamelle. Il la fixait longtemps. Très très très très longtemps. Sans doute caressait-il l'espoir que à force de la regarder elle allait se transformer en une délicieuse terrine de foie gras. Tout est une vue de l'esprit, et nombreux sont ceux qui prétendent avoir réussi à transformer le pire des mets en de la cuisine raffinée, un orgasme sensitif, un paradis sous la langue... Mais non. Sans doute étais-ce parce qu'il n'avait jamais eu la foi. Sa force de coeur n'était pas assez grande pour transformer cette bouillie gluante et verdâtre en quelque chose de potable et même comestible, soyons tous fous. Si seulement c'était possible, il était même prêt à se faire moine et se raser le crâne si ca sous entendait qu'une fois qu'il aurait surmonté son dégoût, ses papilles lui apprendraient qu'il goûtait une magnifique et merveilleuse bouillabaisse. Il soupira très fort en faisant tourner sa cuiller entre ses doigts.

Ce qu'il trouvait de rassurant, c'était bien que les gens autour de lui tordaient aussi du bec. Il en avait même vu un vomir. Même au pays des mangeurs de hamburgers, un minimum de bon goût existait. Du moins arrivaient-ils à faire la différence entre de la nourriture (même dégueulasse) et de la bouffe pour animaux. Il n'était pas difficile de situer leur "repas" dans la bonne catégorie. Il touilla dedans et en ressortit sa cuiller. Et un gros soupir le prit. Elle était intacte. Il n'aurait pas été étonné qu'elle ronge le métal. Et alors cela lui aurait fournit une excuse pour ne pas se nourrir... Mais déjà qu'il en était à un seul repas par jour, il fallait bien qu'il remplisse son estomac. Jamais la différence entre vivre et survivre ne lui avait semblé évidente.

Enfin, ca aurait pu être pire. Ils auraient pu être en Angleterre. Certes, il avait le plus saint mépris pour les deux pays, mais il fallait bien rendre à César ce qui était à César : des deux, c'étaient bien les USA qui parvenaient à faire, parfois, de temps à autre, lorsque les planètes étaient alignées, de la nourriture correcte. Pas bonne, il ne faut pas exagérer, mais correcte.
Il leva la tête. Personne de connu. L'excuse d'une bataille de nourriture ne saurait être acceptée. Certes, il n'avait pas besoin de connaître les gens pour leur jeter à manger dessus, mais ils semblaient tellement abattus qu'il en suspectait certains de ne même pas réagir, même en cas d'agression à la nourriture infâme.

Certes, certaines mauvaises langues ne vont pas s'empêcher de perfidement faire remarquer que lorsqu'on n'a pas goûté on ne peut se permettre de faire des remarques, mais restons réalistes : toute notion de délit de sale gueule écartée, cette chose ne pouvait qu'être atroce. Il soupira encore et posa la cuiller avant d'aviser son voisin de droite. Il ne pouvait décidément se résoudre à tester.

- Vous avez déjà testé?

Qui sait... Avec un peu de chance... Ou pas. Mais on est toujours mieux lorsqu'on peut souffrir à plusieurs.
Invité
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Anonymous



Son voisin de droite semblait plus perdu dans ses pensées qu’à songer à manger la bouillie verdâtre qu’il avait devant lui. Le jeune Alexander gardait son regard posé sur son fameux repas, pendant qu’il réfléchissait profondément à sa situation. Il savait qu’il n’avait pas encore compris la complexité du lieu, il savait parfaitement que cette nouvelle prison dorée était comme l’ancienne, voire même pire… Au moins chez son père il mangeait un truc moins bizarre et moins radioactif d’apparence…

Et ce qui le dérangeait le plus, c’était de ne pas savoir où se trouvait sa sœur. Ils étaient arrivés ensemble mais il ne l’avait pas vu depuis un moment et il ne savait pas s’il devait s’en réjouir ou en pleurer. Il ne se préoccupait pas forcément de ce qui l’attendait lui, mais ne pas savoir où était sa sœur était ce qui le dérangeait le plus. Il ne doutait pas une seconde que son père allait faire des pieds et des mains pour le retrouver, mais sa fille, il n’en aurait strictement rien à faire. Comme toujours… Mais Gabriel ne laisserait pas tomber sa sœur, pas après avoir déjà trahi Willow. La disparition de sa seule et unique amie avait eu raison du jeune banquier. Entre son boulot et son amie, il avait choisi son amie, le tout agrémenté de mensonges devant son père. Mais le jeune homme s’en voulait quand même. De ne pas avoir compris avant, de s’être rendu compte trop tard de son absence, de ne pas avoir fait tout ce qui était possible pour la retrouver. C'est quand on perd les choses qu'on se rend compte à quel point on y tient, ou du moins à quel point on y est habitué. [1]

Relevant son regard pour observer la salle, l’Américain retint un soupir de lassitude en constatant encore l’absence de sa sœur. Il n’aimait pas ça, il n’aimait pas ce lieu. Pourquoi n’avait-il pas écouté son instinct au lieu de mettre les pieds dans ce lieu ? C’était agaçant d’avoir la tête rempli de questions et aucune réponse qui ne venait. Gabriel savait parfaitement que son inquiétude pour sa sœur remplaçait sa réflexion. Tant qu’il ne saurait pas si elle allait bien, il ne réfléchirait pas logiquement et sainement. Ses sentiments venaient troubler ce qu’il pouvait penser. Il devait réfléchir comme si cela arrivait à un autre. Ce serait peut-être plus simple. Prendre ça comme une histoire stupide qu’on racontait à d’autres.

Reprendre les informations dans l’ordre… La première chose était le lieu. D’extérieur, il aurait dit un petit motel loin d’avoir la classe d’un quatre étoile, mais vue qu’il n’y avait que du désert à proximité, ils n’avaient pas fait les compliqués. Ni lui ni Diane. Ils étaient fatigués, il n’avait trouvé aucune trace de Willow, ils devaient repartir pour Washington le lendemain. Le changement de l’hôtel n’avait pas eu lieu immédiatement une fois qu’ils étaient rentrés dedans, non, ils avaient eu le temps de rentrer assez loin pour être piégés comme de vulgaires souris. Ce qui signifiait que qui que ce soit derrière cet enlèvement, il était assez machiavélique pour réussir ce coup de maitre sur le changement de décoration.

La voix du français résonna dans les oreilles du jeune banquier qui mit quelques instants avant de lâcher un simple « Non » sans pour autant quitter son repas des yeux. Peut-être que sans lunettes ce repas semblerait moins écœurant. Bon sang, où était le cuisinier de son père quand on avait besoin de lui. Au moins, dans son ancienne prison dorée, il mangeait de bons plats. En même temps, son père avait été exigeant pour le choix du cuisinier, mais il ne pensait pas qu’il lui manquerait tant… Enfin, il n’avait guère de choix, il serait presque prêt à parier qu’ils auraient le droit à ce charmant bouillon d’une couleur douteuse pendant encore de trop nombreux repas. Pourquoi avait-il choisi cet hôtel ? Et surtout où était Diane ?

Gabriel ne songeait même pas un instant à manger cette immonde bouillie verte avec laquelle il jouait depuis s’être assis. Pas plus qu’il ne songeait à prêter attention à ses voisins. Il essayait d’éclaircir le problème qu’il avait devant lui. A savoir retrouver sa sœur puis la sortie de ce lieu.

Spoiler:
Henri Potier

▌Date d'arrivée : 03/08/2011
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Henri Potier



Bon, il y a une progression évidente. Il avait prit la peine de montrer qu'il l'avait entendu. Le problème qui se posait à présent était d'éveiller autre chose que la lueur d'ennui bovin qui brillait dans les yeux de son interlocuteur. Parce que là... C'était pas glorieux. Henri en venait à mépriser ses congénères. Faibles, obscurs, résignés. Ils semblaient tous fats,vides. Lorsque tout allait bien ils se récriaient leur bravoure et leur humanité, et lorsque la situation empirait ils n'étaient plus que des ombres, des vaches qui suivaient leur troupeau, menées par des bergers sans visages armés de pieux tâchés de sang. Il y avait ceux qui avaient complètement sombré et qui n'étaient plus que des animaux, ceux qui se battaient, et ceux qui avaient trahis. Le français préférait presque ceux qui jouaient double jeu par rapport ceux qui cessaient toute activité cérébrale.

Celui-ci, il ne savait où le situer. Il ne semblait pas franchement détruit, par rapport à d'autres qu'il avait déjà eu l'occasion de mépriser définitivement, il n'avait pas l'air non plus d'être porteur de cette flamme déterminée à tout pour survivre. Etait-il entre les deux? L'un des leurs, ce qui explique qu'il ne soit pas tendu... Un nouvel arrivant qui n'avait pas encore comprit où il pouvait bien mettre les pieds? Le mystère devenait assez présent pour attiser sa curiosité. On a beau être sur la corde raide, il y a des choses qui ne changeront malheureusement jamais. Henri adorait en apprendre le plus possible pour les autres. Pas par amour du secret. Ca, il s'en passait par dessus la tête. Non, c'était une raison tout aussi détestable aux yeux des bien pensants : il adorait cela parce que chaque détail qu'il apprenait sur les autres lui prouvait toujours un peu plus que tous les hommes ne valaient rien. Tous étaient des menteurs, des tricheurs, des êtres cruels, vils, parfois vénaux, souvent simplement lâches, mais tous bourrés de défauts et souillés. Henri détestait par dessus tout les âmes pures. Il les méprisait autant qu'il les adorait. Il les détestait de se présenter au dessus de tout, de se libérer de l'humanité, et il les aimait pour ces même raisons. Un être pur, il ne présente aucune prise. Il n'y a rien pour les blesser, rien pour les toucher. Et peu à peu, il se refuse à les abîmer. Les hommes normaux, eux, c'est pour le plaisir de se prouver qu'il ne vaut pas moins, pas plus que les autres. Que tous sont méprisables... Mais les blanches colombes... Henri préfère les crapauds, la boue et les mensonges. Il s'y complait et en tire un plaisir évident. Il fuit l'hypocrisie en dénudant la vérité de cette beauté qu'on lui a paré. La vérité est. Elle est cruelle, parfois belle, mais elle n'a aucun adjectif intrinsèque.

Sa bouillie l'indifférait totalement à présent. D'ailleurs il n'y adressait plus un seul regard. Il fixait le type. Propre sur lui, indifférent visiblement. Avec un seul mot (et la présentation visible qu'il le faisait chier, vu comme il avait répondu) il était difficile d'estimer sa nationalité. Il lui avait parlé en anglais et il avait répondu, mais ca ne voulait pas dire grand chose. Lui même à force de traîner ses semelles sur cette terre avait fini par terminer bilingue.

- Vous êtes nouveau ici, non? Pas trop dépaysé?

Dernière solution pour obtenir des renseignements : le faire parler. Il ne l'avait jamais vu ici, et il faisait bien trop propre pour être ici depuis un moment. Il était donc plus intéressant de savoir d'où il venait, ce qu'il foutait en enfer, si il y était entré en connaissance de cause, et puis surtout, surtout, dans quel camp il allait se placer. Ah, et aussi c'est toujours plus intéressant d'obtenir des piques à placer justement si jamais son interlocuteur se trouvait digne de mépris.
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Il n’avait pas prêté une attention particulière à son interlocuteur. Non pas qu’il était mal élevé, mais l’idée de devoir subir une conversation avec les autres ne le motivait absolument pas. Non pas qu’il était timide, mais il n’aimait pas les conversations. Enfin il n’avait jamais eu une vie très sociale avant sa rencontre avec Willow. À trop l’enfermer, ses parents l’avaient rendu peu social, même s’il connaissait par cœur les règles de bonnes conduites et de savoir-vivre digne de son rang s’il se rappelait les propos absurdes de ses professeurs particuliers. Non, il ne se leurrait pas, si Willow était son amie, c’était bien elle qui avait fait le premier pas. Certes, elle avait juste voulu réunir un frère et une sœur, mais leur amitié provenait bien de l’américano-chinoise qui avait cherché à comprendre cet adolescent à la limite de l’asociabilité.

Il sentait le regard pesant de son voisin sur lui. Il savait qu’il était soumis à cette habitude classique qu’on a quand on rencontre une nouvelle personne. De l’analyser, de la décortiquer pour mieux la comprendre. Mais il se doutait parfaitement qu’il n’aidait pas trop. Hormis qu’il n’était pas forcément bavard, qu’à long terme Henry percevrait surement un accent de la côte est, s’il arrivait à le faire suffisamment parler. Mais il savait que ce ne serait pas pour autant que son interlocuteur saurait définir les pensées ou les goûts de l’Américain. Le Français aurait besoin de bien s’acharner pour faire parler Gabriel. Mais le pire, c’était que le jeune homme n’agissait pas ainsi volontairement. Juste qu’il avait grandi entouré d’adultes, écoutant davantage que parlant. Même avec Willow et Diane, il restait bien moins bavards qu’elles et involontairement bien trop sérieux pour son âge.

« En effet. Pas tant que ça. »

Ca aurait été un pur mensonge de ne pas dire qu’il était dépaysé. Il l’était, il l’était par l’absence anormale de sa sœur, par la qualité de la nourriture juste pire que le fast-food miteux où sa sœur avait osé le trainé… Et dire qu’il avait trouvé ça juste infect… Mais ce n’était pas pour autant que Gabriel allait se laisser aller. Non, il avait trop de raison de trouver une solution sur comment sortir de ce lieu une fois qu’il aurait compris le pourquoi du comment. IL ne comptait pas se laisser abbatre parce que sa vie était plus catastrophique qu’avant. Certes, sa vie n’avait pas été aussi catastrophique qu’elle l’était en l’instant, mais il était habitué à être captif dans un lieu. La cage dorée de son enfance avait finir par être étouffante, surtout avec son amitié avec Wiwi et l’existence de sa sœur. Mais là, il se retrouvait contraint à supporter constamment d’autres personnes, et sans savoir où était sa sœur. Qu’il soit perdu en plein désert n’était pas le pire, mais l’ignorance d’où se trouvait sa sœur le rongeait davantage. Et à ce rythme-là, il ne retrouverait jamais sa seule amie. Enfin il devait déjà sortir d’ici avant de songer à retrouver Diane et Willow.

« Vous êtes ici depuis longtemps ? »

Il l’avait compris, s’il voulait avoir de la chance pour sortir d’ici avant de ressembler aux déterrés qui étaient présents, il n’avait d’autre choix que d’agir et pour l’instant, il pouvait se contenter de récupérer les informations dont il aurait besoin à long terme. Peut-être trouverait-il des informations sur Diane au passage. Avec le caractère de son aînée, il ne pouvait que l’espérer. Si elle réussissait à s’attirer des ennuis, il aurait du mal à le savoir, tant qu’il ne l’aurait pas trouvé.

« Je m’appelle Gabriel, et vous ? »

Il n’avait aucunement besoin d’en dire plus, son nom, son métier, ici, ça n’avait pas d’importance. Et puis vu qu’il ignorait encore trop de chose de ce lieu, mieux valait rester méfiant et prudent. Hors de question d’en dire trop pour se faire poignarder dans le dos. Savoir garder des secrets et détourner la vérité, il commençait à bien maitriser avec son père. Il ne restait plus qu’à l’appliquer ici, tant qu’il ignorait de quoi le futur serait fait.

[HRP : Désolée pour le temps de réponse]
Henri Potier

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La première tentative avait été un échec cuisant. Raté, essayons encore. Le français avait beaucoup de défauts, mais au moins avait-il celui de ne jamais abandonner. Vraiment jamais, même quand il devrait ou aurait du, il continuait à essayer, encore et toujours. Et en souriant qui plus est, si ce n’est pas magnifique. Même si en face il avait une porte de prison tout sauf communicative, et même si il avait l’air aussi aimable qu’une mycose plantaire. Il faut de tout pour faire un monde, et il voulait de tout pour vivre dans le monde. Ainsi il conservait son sourire, et il essayait de trouver la faille pour pouvoir commencer à entamer sa discussion. Il ne voulait pas l’agresser, ni lui voler quoi que ce soit ou tenter de le mordre, mais il fallait bien qu’il commence par quelque chose… Et surtout il avait besoin d’alliés. Alors toute nouvelle personne était immédiatement considérée comme un allié potentiel. Pas un ami, ce serait s’imaginer au pays des bisounours, mais un allié.

- Henri. Je n’irai pas jusqu’à dire que je suis enchanté.

Être enchanté sous-entendait qu’il était content de se trouver où il était, et ca aurait été un odieux mensonge que de dire cela, et pour le coup il n’avait pas très envie de mentir. Le jeu n’en valait pas la chandelle. Ni le repas d’ailleurs. Renonçant à manger le sien, il le repoussa le plus loin possible de ses sens déjà trop maltraités ces temps-ci. Ce n’est pas de sa faute si ces choses sont absolument immangeables, si ? Et bien merde, il ne mangera pas aujourd’hui. Peut être demain. Quand la nourriture n’aura pas une couleur de vert radioactif. Oui, il avait de quoi attendre encore.

- A votre accent je dirai que vous êtes américain. Je me trompe ?

Avec trois mots et un grognement, c’était tout de même difficile à estimer, mais il faisait comme il pouvait avec ce qu’il pouvait. Et puis surtout il fallait trouver encore et encore de quoi le relancer. Il attrapa un de ses élastiques et lia ses cheveux. Ainsi il ne les aurait plus dans la figure, ce n’était pas plus mal. Il n’y voyait rien avec ses cheveux en bataille. Avec une salle de bains, un sèche cheveux, et un bon démêlant il pouvait se débrouiller, mais Henri avait des bouclettes, et quand on n’a pas l’équipement pour les entretenir, c’est plutôt difficile à gérer. Encore un des inconvénients de cet asile. Foutu Nathanael.

- Vous étiez venu pour quoi à la base ?

Lui c’était pour échapper aux flics, Eren pour le traquer, d’autres pour un abri pour la nuit…. Chacun avait des raisons variées, mais tous se détestaient d’avoir franchi le pallier de l’accueil.
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