Hotel Dusk
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On dit que Matt McCravatt {Ragots de miss Hodgkin}
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Invité
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Anonymous



Zoophile en liberté

On raconte qu'une certaine personne dans l'hôtel aurait des penchants zoophiles. Madame Leclerq, la dame de la chambre 1489, se serait plainte que le postérieur de son petit bichon aurait doublé de volume la nuit de samedi à dimanche. Le suspect serait un jeune homme blond de grande corpulence parlant avec un accent fort prononcé. On dit même qu'il aurait essayé de draguer une certaine Alexis qui lui aurait retourné une double baffe. Les rumeurs de couloir lui donne une aventure avec une oie nommée Gisèle, si quelqu'un pense savoir qui sait, prévenir la réception.



Qui dit Jaylynn Hodgkin, dit presse à scandales ! Vous voilà prévenus, la demoiselle n’hésitera pas à poster des rumeurs sur les habitants de notre hôtel. Vous êtes libres de poster « sous forme de rp » vos réactions face aux annonces de notre reporter de choc, ou pas, on ne vous force en rien ^^ Toujours est-il que la miss, si vous le faites, n’hésitera pas à se servir de vos réactions pour ses futurs articles alors…

Jamie McCravatt

▌Date d'arrivée : 31/03/2011
▌Commérages : 372


Jamie McCravatt



*Cent vingt-quatre, cent dix-neuf, cent vint-cinq, cent vingt-six... *

Depuis trois heure de l'après-midi, monsieur McCravatt, fermier de profession, parcourait tous les étages de l'hôtel. Partant du dernier étage il a décidé sans raison apparente de compter toutes les ampoules de l'hôtel. Un peu comme un moustique attiré par la lumière. Loupant de nombreuses ampoules et faits intéressants, Jamie était enfin arrivé dans la pièce de séjour pour... Et bien pour se reposer d'une tâche aussi ardue. S'apprêtant à s'affaler comme un bienheureux dans un des canapés, une petite note colorée posée sur un panneau d'affichage attira son attention. Telle une mouche à papier, il sautilla allègrement jusque sa nouvelle distraction.

*Huh? Mais c'est un bien charmant petit mot qui est inscrit sur ce panneau! Et ça dit quoi? « Zoophile en liberté »?*

Fronçant les sourcils, il regarda le plafond, l'air songeur, attendant d'avoir une réponse explicite sur le titre.


*Zoophile... Zoophile... Mais qu'est-ce donc ce mot? Oh? Peut-être que c'est un nom de famille? Quoiiiii?! Ça veut dire que monsieur Zoophile est en liberté! Quelle tragédie pour lui! Mais c'est qui au juste? C'est le patron de l'hôtel? Attends, comment elle s'appelle sa fille? Shya... Sha... Jessica Zoophile, c'est ça! Oh bon sang, qu'allons nous devenir si le gérant est en liberté! Oh mais peut-être que cet article signale les mesures à prendre...*

Le garçon observa à nouveau avec un air faussement intelligent le mot affiché.

*Hun, hun, il est penchant donc il doit être vieux... Il vit avec Madame Leclerq dans la chambre 1489, donc... Mouiiii, un bichon, c'est évident... Il a forcément doublé de volume, logique... Hein? Non, Jamie, ce n'est pas ça! Relis ces derniers mots! Comment? Il a osé gavé le petit de la biche en un soir! C'est... c'est la fin du monde! Il s'en prend à ce bichon puis il va s'en prendre à Kunstkammergericht et puis à mon canard! Non, monsieur le gérant, vous n'aurez pas de foie gras demain!*

Cette dernière phrase hérissa le poil de Jamie. Ses mains sur la tête, le garçon semblait livide en pensant aux atrocités qui arriverait à son animal de compagnie et celui de son bien-aimé cousin. Se rongeant les ongles, il examina avec angoisse la suite.

*Que dit la suite? Hum, blond, grand avec un accent... Mais attends? Le gérant est chauve comme une motte de beurre. Ce journaliste n'a pas vérifié ses dires... A moins qu'il ait un complice! Non, il a un supérieur, c'est cela!*

Bien trop concentré, il lâcha innocemment une conclusion « logique » à ce qu'il venait de penser.

-C'est comme le jambon en fait.

Ou pas. Mais ça, e fermier s'en fiche bien! Il reprit sa lecture tout naturellement.


*Alexis, Alexis... Ce nom me dit quelque chose, mais où ai-je pu entendre ce nom? Peut-être quand Matt parlait avec son poisson rouge? Mais quel rapport avec cette affaire d'homme en liberté? Oh non, ne me dites pas qu'il est pris en flagrant délit de libertinage avec Alexis! Même si je ne vois toujours pas qui c'est...*

Il tenta tant bien que mal s'imaginer la figure de cette personne prénommée Alexis, mais la seule image qui lui vient en tête était celle du président Lincoln. Ne voulant pas trop forcé sur ses capacités cérébrales, le garçon haussa les épaules et termina sa lecture, devenue ô combien difficile à suivre pour son esprit.


*Une oie qui s'appelle Gisèle! Non, non, NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON!!!!! Tout mais pas elle! Oh mais suis je bête? Les oies ne peuvent pas loger dans un hôtel, c'est évident. Ahahah, quel petit sot, je fais. Ouf, je me suis fait une petite frayeur, encore un peu et j'allais me faire dessus... Mais qui est cette Gisèle? Oh attends, ce monsieur White ne m'avait pas parler d'une personne qui s'appelle Gisèle? Gisèle... Marcelle... Margaret Gisèle Reese, oui! Bon, je vais aidez ce pauvre inspecteur de la police à retrouver le coupable. *

Sans vraiment comprendre la suite, Jamie sortit de sa poche un feutre noir et commença à y inscrire un nom. Oui, pour un McCravatt, la réception est tout lieu comportant un panneau d'affichage donc, cette pièce est la réception. CQFD!

*Hop! Juste en dessous de l'article, on écrit un beau petit mot! Héhé, Jamie justicier masqué!*

S'en allant d'un pas guilleret, Jamie rangea dans sa poche son feutre et reprit ses mésaventures aussi passionnantes que du pâté en croûte. L'affiche trônait au centre de la pièce avec écrit en bas: « Le coupable connait Ruthel White. Signé: MJ ».
Ruthel White

▌Date d'arrivée : 09/12/2009
▌Age du joueur : 36
▌Commérages : 1962


Ruthel White



Les mains dans les poches, j’avançais tranquillement dans les couloirs de l’hôtel. Pour une fois que rien de fâcheux ne m’était arrivé, il faut l’avouer, j’en étais plutôt satisfait. Je n’aimais pas spécialement ramasser des tuiles mais ces derniers temps, ça m’agaçait encore plus que d’ordinaire. J’avais les nerfs à fleur de peau, sans doute parce qu’on approchait une date qui ne signifie plus « joie et bonheur » dans ma petite tête. Non, Noël ne représentait plus ça désormais… Je soupirais avant de prendre la tête entre mes mains. Je ne voulais pas y penser, je ne voulais pas revoir ce sourire figé alors qu’elle pensait à l’autre… Pourquoi ? Pourquoi était-elle partie en pensant à lui alors que… alors que… Enervé, je finis par frapper du poing contre le mur avant de reprendre ma route vers le rez-de-chaussée. Je frappais beaucoup ces derniers temps, mes mains couvertes de bandages en étaient le témoin. Margaret semblait inquiète mais je n’arrivais pas vraiment à la rassurer. A quoi bon lui mentir ? Elle n’était pas idiote, elle savait que je n’étais pas dans un bon état d’esprit en ce moment et lui dire que ce n’était rien ne transformerait pas son inquiétude en autre chose de plus sain. Non, ça l’inquiéterait davantage la connaissant alors je préférais m’abstenir. Je me contentais de sourire, enfin, j’essayais le plus souvent car on ne peut pas dire que mes sourires étaient des plus convaincants.

Mes pas finirent par me mener dans la salle de séjour. L’endroit était vide et j’en étais plutôt content. Je n’étais pas d’humeur à supporter la présence de qui que ce soit. Je voulais rester seul, ruminer dans mon coin mes pensées sombres qui tournaient en boucle dans ma tête. Les mains dans les poches, mon regard fut attiré par un petit papier rose affiché sur le mur. Tiens ? Je ne l’avais pas vu auparavant. Ma curiosité fut piquée à vif et je finis par aller lire ce qu’il y était écrit. Un zoophile ? Quoiiii ?? Mais qu’est-ce que c’était que cette histoire ? Minute, mais il fallait l’enfermer ce malade ! Comment pouvait-on imaginer faire ça un animal ? Une infime partie de moi eut envie de me faire remarquer que j’avais bien menacé quelqu’un dernièrement et que j’étais du coup mal placé pour juger sur l’envie de faire souffrir… Mais je n’eus guère l’envie d’écouter cette voix de la sagesse. Oui, j’avais menacé ce gamin et je m’en foutais ! Ça n’avait rien à voir avec de la zoophilie, ce n’est pas la même chose d’abord. Qui pouvait nous garantir que ce type s’arrêterait aux animaux ? Après tout, si on était suffisamment cinglé pour faire ça… J’eus soudainement peur pour Margaret. Je n’avais pas envie qu’on lui fasse du mal… Je finis par secouer la tête, préférant ne pas y penser. Il faudrait que je lui en parle, que je la prévienne pour qu’elle reste sur ses gardes et puis voilà. Arrêtons de dramatiser…

C’est alors que je le vis. Mon nom, inscrit de manière mal habile sur ce petit bout de papier rose. Quoi ? Comment ça ? Mais c’était quoi ces c*nn*r*es d’abord ?!? Comment ça je connaissais le coupable ? Oh, je n’avais pas envie qu’on me mêle à ça moi. Je voulais qu’on me foute la paix et non l’inverse. Marmonnant dans une barbe inexistante, je finis par aviser un marqueur noir sur une table un peu plus loin. Je le pris pour rayer mon nom avant d’ajouter en-dessous, d’une écriture beaucoup plus soignée « C’est celui qui dit, qui est !! ». Quoi ? Puéril ? Et alors, je vous ai demandé votre avis ? Non, bien, alors allez voir ailleurs si j’y suis. Satisfait, je finis par refermer le marqueur avant de le remettre à sa place. Non mais il ne fallait pas pousser bobonne dans les orties non plus. Bien que satisfait de ma réponse, ma « pseudo bonne humeur » n’était plus de la partie. L’endroit m’avait semblé approprié pour y broyer du noir mais maintenant, je savais pertinemment que je ne cesserai jamais de jeter des regards furtifs à ce maudit papier rose. Où que je sois dans la pièce. Soupirant avant de coller ma tête contre le panneau d’affichage, je finis par abdiquer. Cet endroit n’était pas plus approprié que le reste de cet hôtel. Si on voulait un peu d’intimité, il fallait faire abstraction du reste du monde et s’enfermer dans sa petite tête. N’y avait pas d’autres solutions. Je finis par me décoller du panneau avant de rebrousser chemin. Peut-être que la bibliothèque serait libre à cette heure de la journée ? Si pas, je pourrais peut-être faire un tour…


♣ Ruthel : Oh et puis zut, tant que je m’éloigne de ce truc, c’est du pareil au même. Tant qu’i n’y a personne pour me saouler, ça me conviendra parfaitement. Ce genre de pièces doit bien exister, non ?

C’est sceptique que je fis demi-tour. Je voulais oublier ce papier, ma vie, mes emm*rd*s, ma poisse, mon meilleur ami qui me gavait pas possible, je voulais juste tenter d’oublier quelques instants. Peu importait l’endroit finalement.
Nathaniel O'Bryan

▌Date d'arrivée : 02/12/2009
▌Age du joueur : 37
▌Commérages : 1422

https://pandora-box.forumactif.com

Nathaniel O'Bryan



Les mains dans les poches, Nathaniel traînait la patte pour une fois. Cela nous changeait du duo de cinglés sautillant telle une puce surexcitée. Mais là, pas de petits bonds, pas de sourires débiles profonds, non, juste un fou triste à souhait et proche des larmes qui plus est. Pourquoi donc me direz-vous ? Bah oui, ce changement radical de comportement laisse à poser quelques questions. Oh ma foi, une dispute avec sa chère et tendre princesse rose devait être une raison suffisante, n’est-ce pas ? Si vous ne trouvez pas, et bien, on pourrait chercher autre chose mais je doute fort que cela ne soit plus « percutant » que la crise de jalousie de miss Ely. Nathaniel n’avait pas trop compris pourquoi la petite l’avait regardé avec une mine boudeuse avant de dire qu’elle allait jouer avec Caïn. Il le savait qu’elle aimait bien aussi leur grand frère mais la voir partir sans un regard l’avait profondément blessé. Plus qu’il ne l’oserait l’avouer. Ce n’est pas comme si elle ne l’avait jamais fait mais…

« Non, elle n’est jamais partie ainsi mon ami. Certes, vous avez raison ami lièvre. D’ordinaire, elle nous sourit, elle sautille dans nos bras pour un câlin pour s’éclipser ensuite en rigolant pour jouer avec Caïn. D’habitude, elle est heureuse. Là, elle était boudeuse. Aurait-elle perdu un ballotin de pralines ? Je doute fort qu’elle fût dans cet état. Ses yeux auraient brillé de colère et elle n’aurait point eu l’air abattu. Serait-ce possible qu’elle ait attrapé la jaunisse du Gondawagod ? Hum… A bien y penser, tous les symptômes sont là. C’est sûrement cela ! »

Tout content d’avoir réussi à expliquer la raison de cet étrange comportement, notre duo de fous reprit sa course dans l’hôtel en sautillant. Oui, il en faut peu pour que Nathaniel O’Bryan redevienne heureux. Les clients le regardaient avec des points d’interrogation clairement visibles dans leurs regards, se demandant qui pouvait bien être ce fou qui causait tout seul dans les couloirs. Avouez que cela a de quoi étonner (dans le meilleur cas) ou encore effrayer (dans la pire des situations). Après quelques minutes d’errance, notre jeune chapelier finit par débarquer au rez-de-chaussée où un petit papier rose finit par attirer son attention. Tiens, ami lièvre, aviez-vous avisé ce document préalablement ? Que neni l’ami, il n’était point hier soir lorsque nous avons décidé d’aller dormir. Je m’en doutais. Serait-ce une lettre de la reine blanche ? Ou bien de sa sœur, la machiavélique reine de cœur ? Diantre, pourvu que vous ayez tord dans le second cas. Je préfère ne point penser à cela.

C’est bien connu, un lièvre, c’est curieux de nature. Couplez-le à un chapelier siphonné et ça vous donne une masse de curiosité digne du plus grand intérêt. Nathaniel arriva à hauteur du panneau d’affichage et avisa alors un message des plus étranges. Zoophile ? Etait-ce le cousin germain de l’ami scatophile ? Ou bien la sœur au cinquième degré du père de la grand-mère à la sœur cinéphile ? Mystère et boule de gommes. Nathaniel n’en avait aucune idée et questionner l’ami lièvre ne l’aurait point aidé. Lui-même l’ignorait. Mais ce qui laissait notre duo au cerveau déglingué des plus perplexes, c’était le message qu’avait laissé ce dénommé MJ. Le coupable connaissait Alice ? Diantre, impossible. Maître Janot n’aurait jamais osé prétendre qu’Alice fut la complice d’un coupable. Quel que soit la nature du crime. Avait-il mangé des betteraves rouges ? Ou bien des groseilles ? Cela expliquerait la couleur du papier. Après avoir lu le second message, Nathaniel se munit d’un marqueur et annota…


« Exactement, c’est celui qui dit qui est ! Mais alors ça veut dire que le coupable serait maître Janot ? Dieu du ciel ! Notre ami lapin blanc ne serait donc point innocent ? Il va falloir mener l’enquête. Mille cous de girafe du pays de la reine rouge à celui ou celle qui trouvera le fin mot de l’histoire. Je prierai de ne point accuser la douce Alice. Elle est bien trop innocente que pour connaître pareil mécréant ! NOB, le chapelier. »

Fier de son petit texte, Nathaniel retourna au comptoir et y déposa le marqueur avant de faire demi-tour. Il devrait mener l’enquête. Janot ne pouvait pas décemment quitter le droit chemin, les sinueux étaient bien trop fatigants. Et puis, il ne pouvait pas accuser sa douce et tendre Alice de la sorte. La pauvre enfant ne pouvait point connaître un coupable de quelque crime que ce soit, elle était bien trop douce et bonne pour cela. Pour le bonne, mon cher, cela reste encore un mystère. Mais pourquoi donc ? Vu la vitesse à laquelle vous comptez vous la faire, je ne peux guère encore poser de commentaires sur cette affaire. Mais il suffit ! Mais quoi donc ? Je ne vous permets pas de parler de la sorte de notre douce et tendre blondinette adorée. Mais qui puis-je si vous n’êtes pas autant porter sur la chose que je ne le suis ? Mais arrêtez voyons ! Tout en s’auto-insultant pour pareilles pensées, Nathaniel retourna on ne sait où alors que les clients qu’ils croisaient le regardaient en se demandant à nouveau qui pouvait bien être ce fou. Au fait, l’ami, NOB, ça fait un peu idiot, non ? Bah non, pourquoi donc ? Oh, pour rien. Laissez tomber. J’aurai juste aimé voir mon nom apparaître mais… La prochaine, je noterai Mars attack, le chapelier. Hum… Je préfère NOB. Roh mais que vous êtes compliqué…
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